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Il y a un an, quasi jour pour jour, Pierre Paoli, militant de Corsica Libera, obtenait du juge en charge de son dossier, une demande de libération, d’assignation à résidence, avec bracelet électronique. Demande refusée par le parquet presque immédiatement. Il est en prison depuis février 2015.

Le 14 juillet 1755, Pasquale Paoli était élu Général de la Nation corse à la Cunsulta qui se réunissait au couvent Sant’Antone di Casabianca.

En reponse au déni de réalité et de démocratie de la part de l’État Français, l’Associu Sulidarità appelle à se joindre au rassemblement organisé par la Ghjuventù Indipendentista ce jeudi 14 Juillet à partir de 9h en haut de la place St Nicolas à Bastia.

fin juin, La Cour de Cassation de Paris annule la décision de maintenir en prison le prisonnier politique basque gravement malade Ibon Fernandez Iradi

Comme depuis 3 ans maintenant, le groupe L’Arcusgi (lien) sera présent à Casalabriva (signataire de l’amnistie) le 9 juillet sur la place de l’église pour un concert ! Cette année il y aura également le groupe I Vagabondi en première partie mais aussi en troisième !

La prisonnière politique basque Izaskun Lesaka se joint à la grève de la faim entamée par Joseba Iturbide à Fleury-Mérogis

(Alta Frequenza) Le Premier ministre Manuel Valls et cinq autres membres du gouvernement sont donc en Corse ce lundi. Une visite qui a débuté par Ajaccio et la préfecture de région avec au menu la réunion conclusive sur les groupes de travail consacrés à la langue corse, à la fiscalité, aux institutions et aux intercommunalités. 

A Ghjuventù Indipendentista tient à réagir suite à la venue de Manuel Valls sur notre île.

(FRANCE 3 CORSE) Co-officialité du Corse, amnistie des prisonniers « politiques », statut de résident: Manuel Valls a de nouveau rejeté lundi les demandes les plus symboliques des dirigeants nationalistes corses à l’occasion de sa première visite comme Premier ministre dans l’île.

(FRANCE 3 CORSE) Le Premier ministre Manuel Valls a de nouveau rejeté lundi les demandes des nationalistes corses de rendre la langue corse « co-officielle » avec le français et de créer un statut favorable de « résident » sur l’île, répétant qu’il s’agissait de « lignes rouges ».