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(Julien Pernici – Alta Frequenza) – Deux mois de prison avec sursis. C’est ce dont ont écopé deux gendarmes mobiles pour violences volontaires par un dépositaire de l’autorité publique lors de l’occupation de la préfecture de Haute-Corse par des socioprofessionnels le 4 juillet 2014.

« Ci sara un processu in appelu par 6 militenti di a GI ch’avianu occupati a sottu prifettura di Corti in aprile 2013.

(Julien Pernici – Alta Frequenza) – Ce mardi, les événements du 4 juillet 2014 à la préfecture de Haute-Corse, où des socioprofessionnels avaient été délogés de leur occupation dans le cadre du conflit de la SNCM par des gendarmes mobiles et des CRS étaient jugés devant le tribunal de Bastia.

Ce soir sur France 3 Corse Via Stella, l’avocat de Pierre Paoli, Me Ferrari s’est exprimé sur le dossier de son client.

(CorseMatin) Huit jeunes hommes sont poursuivis en correctionnelle principalement pour des violences, en mai 2013 à Bastia, sur les forces de l’ordre dont trois membres avaient été blessés. La défense a plaidé la relaxe

(Article du 14 février 2015) La Ghjuventù Indipendentista tient à s’exprimer, quelques jours avant l’ouverture d’un procès qui concernera six jeunes corses dont deux militants de notre structure.

marti u 17 di ferraghju à 2 ore dopu meziornu à u palazzu di ghjustizia di Bastia parechji ghjovanni patriotti hanu da esse ghjudicati per via di incidenti accaduti di maghju 2013.

(MEDIABASK) L’Audiencia Nacional espagnole vient de suspendre pour la seconde fois le procès des 35 militants abertzale. Suite au renoncement d’une des avocates de la défense, le procès qui devait commencer jeudi a été reporté. La manifestation prévue jeudi 29 janvier à 18h30 à Bayonne est elle aussi reportée.

(CorseMatin) Deux gendarmes mobiles et un socioprofessionnel avaient été mis en cause lors d’une intervention « musclée ». D’abord prévue pour être jugée en décembre, l’affaire a été renvoyée au 24 février

(CorseMatin) La plus haute autorité en matière de justice a été sensible aux quatre griefs soulevés par Me Patrice Spinosi. La France a six mois pour justifier que le procès qui s’est tenu en 2011 était bien équitable