Tag Archives: prisonnier

Le commandant Stéphane Le Seigle est un habitué des cours d’assises spécialement composées pour juger les affaires de séparatisme corse. Il est revenu à Paris, hier, pour remettre dans son contexte l’histoire du FLNC Union des combattants (FLNC-UC) et des cellules clandestines auxquelles sont supposés appartenir les 18 accusés. Il connaît parfaitement son affaire et a conscience que plus il …

La famille et les proches de Julien Alessandrini, qui comparait actuellement devant la cour d’assises spéciale de Paris dans le cadre du dossier relatif à une série d’attentats revendiqués par FLNC-UC, tiennent à apporter un certain nombre de précisions sur l’audience du 5 juin relatée dans nos colonnes.

La fin de la 1ere semaine du procès de militants présumés du FLNC union des combattants. La fin de la Première semaine d’audience au procès des 18 militants présumés du flnc union des combattants, jugés à paris pour 15 attentats.

La fin de la 1ere semaine du procès de militants présumés du FLNC union des combattants. La fin de la Première semaine d’audience au procès des 18 militants présumés du flnc union des combattants, jugés à paris pour 15 attentats.

L’ancien espoir du football, âgé aujourd’hui de 54 ans, est soupçonné par les enquêteurs d’être à la tête du FLNC « canal gamin ». Il le nie et annonce son souhait de cesser le militantisme. 

Cour d’assises spéciales de Paris : les magistrats s’intéressent à la personnalité de Paul Istria. Suite à Paris du procès de 18 militants présumés du FLNC union des combattants.

Poursuivis pour une dizaine d’attentats et de mitraillages commis en 2007 et en 2008, 22 jeunes de la région comparaissent devant la Cour d’assises spéciale de Paris à partir du 4 juin. Un procès politique sans politique.

Jean-Christophe et Julien Alessandrini sont nés à huit ans d’intervalle. L’aîné est sobre, posé. Le cadet assume, à la barre de la cour d’assises spécialement composée de Paris, une image de rebelle.

Beaucoup de monde hier matin dans le prétoire de la cour d’assises spécialement composée de Paris. Sept magistrats du siège, deux avocats généraux, trois avocats pour les parties civiles et une quinzaine pour les dix-huit accusés. Dix d’entre eux étaient dans le box, sous surveillance d’une douzaine de gendarmes mobiles ; huit autres comparaissaient libres.