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(Michaël Andreani – Alta Frequenza) – Agriculture toujours, mais sous un angle assez différent, puisque cette thématique prend également tout son sens dans la campagne des élections municipales, notamment à Porto-Vecchio.

Une cité administrative en lieu et place de l’école Joseph Pietri, construction d’un groupe scolaire, création d’un pôle d’action culturel, valorisation du patrimoine, nouveau plan de circulation… la liste Campà Altrimenti compte redessiner le centre ville afin qu’il retrouve sa vocation de « lien social et de lieu de cohésion des porto-vechiais ».

(Alex Bertocchini – Alta Frequenza) – Michel Giraschi, candidat de la liste U Riacquistu di Portivechju, réagit vivement contre la méthode utilisée par un institut de sondage qui travaille actuellement sur sa commune.

U Riacquistu di Portivechju inaugure sa permanence ce dimanche 16 février à 11h00, 12 rue joseph Pietri, place de l’église. Venite Numarosi, ci sarà dà bià è dà manghjà

Deux heures d’un débat organisé par RCFM et Corse-Matin où, au-delà de l’affrontement classique et des formules rodées, on a trouvé le temps de parler aussi des projets pour Porto-Vecchio et les Porto-Vecchiais

Numéro 3 sur la liste « U Riacquistu du Portivechju » conduite par Michel Giraschi, ce nationaliste « historique » nous explique leur démarche municipale en affirmant que, s’ils sont prêts aux alliances avec les diverses forces d’opposition, ils sont « clairement « la seule liste nationaliste ».

Selon Le Monde du 7 février dernier, 32 « petites » villes pourraient basculer en mars prochain… Parmi ces villes, une seule se trouve en Corse : Porto-Vecchio.

C’est la question qui m’a été posée par des amis connaisseurs de la Grèce antique, après le débat de ce lundi, lorsque j’ai avancé les montants dépensés en frais d’études par l’exécutif municipal. 

Du monde, beaucoup de monde lundi au centre culturel de Porto-Vecchio pour le débat des municipales proposé par Corse-Matin et RCFM.

Les professionnels du bâtiment sont inquiets, les carnets de commande se vident. Selon eux, l’annulation du PLU a aggravé cette situation. Entretien avec Marc Quilichini, président de l’association de défense des intérêts collectifs des employeurs du bâtiment.