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(CORSE MATIN) L’entretien entre les deux présidents corses, Gilles Simeoni et Jean-Guy Talamoni, et le Premier ministre a duré plus de deux heures à l’hôtel Matignon.

(Alta Frequenza) « José Rossi, le président du groupe Le Rassemblement à l’Assemblée de Corse ne se dit pas surpris par l’attitude du gouvernement à l’égard des présidents Simeoni et Talamoni »

(Alta Frequenza) Selon le journaliste Pascal Praud, Jean-Guy Talamoni, le président de l’assemblée de Corse, est un provocateur.

(Alta Frequenza) Mitigée ! C’est ainsi que l’on pourrait qualifier la rencontre de ce lundi à Matignon entre le président de l’Exécutif de Corse Gilles Simeoni, le président de l’Assemblée de Corse Jean-Guy Talamoni et le Premier ministre Manuel Valls.

A l’issue d’une première rencontre d’une heure et demie de Manuel Valls avec les nouveaux élus de la Corse, trois commissions –sur la langue, sur le foncier, sur les institutions et la future Collectivité Unique- ont été annoncées pour éviter que ce premier contact ne reste sans perspective aucune.

Depuis l’arrivée des nationalistes aux responsabilités à la Collectivité territoriale de Corse, ceux-ci sont souvent interpellés par des politiques ou des médias bien-pensants qui les questionnent sur l’appartenance de la nation corse à la nation française, vilipendent la Corses “au nom de la Nation française une et indivisible”…

(CORSE NET INFOS) Première rencontre délicate et attendue, lundi, en fin d’après-midi, entre les nouveaux patrons nationalistes de la Collectivité territoriale de Corse (CTC) et le Premier ministre d’un gouvernement qui campe fermement sur des positions ultrajacobines.

De Matignon à l’Hôtel de Région, une écoute sur fond de fermeture ?

(Alta Frequenza) Suite de notre rencontre avec l’ancien premier Ministre Michel Rocard, dont la parole sur le dossier corse depuis son passage à Matignon est écoutée avec beaucoup d’attention en Corse.

(CORSE NET INFOS) Première rencontre délicate et attendue, lundi, en fin d’après-midi, entre les nouveaux patrons nationalistes de la Collectivité territoriale de Corse (CTC) et le Premier ministre d’un gouvernement qui campe fermement sur des positions ultrajacobines.