Tag Archives: flnc

Pantaléon Alessandri et Antoine Battestini ont figuré parmi les premiers chefs du mouvement clandestin, en 1976. 38 ans plus tard et quelques jours après la décision du Front de déposer les armes ils ont accepté pour Corse-Matin de commenter cette actualité Au regard de l’histoire qu’ils nous racontent ils jugent cette décision inéluctable

Le PNC rappelle, sur Corsenetinfo, ce qui a prévalu à sa création même le 7 décembre 2002 : « Une démarche patriotique fondée sur le choix résolu et exclusif de l’action publique », pour amener au « véritable saut qualitatif » nécessaire « à assurer l’avenir de la nation corse ».

L’annonce de l’auto- dissolution du FLNC s’inscrit dans une actualité politique marquée principalement par les positionnements du gouvernement. Le préfet de région en a d’ailleurs  récemment précisé les grandes lignes. Avant tout, elles consistent à repousser fermement les trois perspectives  suivantes: 

Hà fattu di più rimore chè una notte turchina. Ognunu si n’hè avvistu, sti pochi anni u FLNC era digià à penciulà ma oramai u « canale addurmintatu » hà dipusitatu l’arme di modu ufficiale.

« Que les armes le cèdent à la toge ». Ces mots de Cicéron illustrent parfaitement la situation créée par le dernier communiqué du FLNC.

Camille de Rocca Serra accueille favorablement l’annonce de démilitarisation du FLNC: “La décision d’abandonner la lutte armée pour s’investir dans la vie politique ne peut que me réjouir.

Le Front de libération nationale de la Corse (FLNC) a annoncé qu’il renonçait aux actions violentes, mercredi 25 juin. L’île de Beauté en a-t-elle fini avec les attentats ? 

(Alex Bertocchini – Alta Frequenza) – C’est tard, mais c’est bien ! C’est ce qu’a déclaré Dominique Bucchini après la diffusion mercredi du communiqué du FLNC.

La communication du FLNC annonçant le dépôt des armes et une sortie progressive de la clandestinité a entraîné des réactions de tous bords politiques. L’État n’a pas encore répondu à cette « main tendue »

La communication du FLNC est incontestablement une bonne nouvelle pour notre Île. Elle ne signifie pas pour autant la fin de la violence en Corse, car le banditisme, qui fait depuis longtemps bien plus de dégâts que les attentats commis par les clandestins, continue à faire des ravages.