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Deux sur quatre – Deux candidats nationalistes du mouvement Femu a Corsica (Faisons la Corse) seront présents au second tour dans deux des quatre circonscriptions de Corse:

Dans la 1re circonscription, si Sauveur Gandolfi-Scheit (UMP), député sortant, conforte sa position, la surprise vient du nationaliste Gilles Simeoni (Femu a Corsica) qui réunit près du quart des voix et devance Jean Zuccarelli (PRG – PS).

(Maria Lanfranchi – Alta Frequenza) – Élections législatives : en Corse-du-Sud, et notamment dans la deuxième circonscription, Femu A Corsica, s’invite également véritablement dans le débat.

(Maria Lanfranchi – Alta Frequenza) – Législatives – Première circonscription de Haute-Corse, le sortant Sauveur Gandolfi-Scheit, place l’UMP en tête de ce premier tour de scrutin avec 31.19% des suffrages exprimés.

 Le moment historique que nous attendions tant est donc arrivé. Malgré les sondages commandés et les détracteurs. Merci aux milliers de corses qui ont porté leur choix sur notre candidature qui est avant tout la leur. Nous ne pouvons désormais plus perdre car nous avons déjà gagné !

Ils avaient pris l’habitude de se rencontrer sur les meetings. D’échanger sur certains sujets. Parfois sans se connaître vraiment. Quand Gilles Simeoni a lancé un appel à la jeunesse de cette île, les réseaux sociaux sont entrés en action pour contribuer à les rapprocher un peu plus.

Dans un peu plus d’une semaine, le grand chambardement français sera terminé avec l’élection de l’Assemblée Nationale. Nouveau Président de la République, nouveau gouvernement, nouvelle majorité au Sénat (c’est déjà le cas) et à la Chambre des Députés (c’est pas encore fait), les cartes sont totalement rebattues à Paris.

Le candidat nationaliste de Porto-Vecchio monte au créneau pour mettre en garde les « bricoleurs», artisans d’une éventuelle « triangulaire acrobatique ». Explications.

Dernière ligne droite dans la campagne des législatives. Lundi soir, c’est le candidat Femu a Corsica de la première circonscription de la Corse-du-Sud qui a tenu l’une de ses dernières grandes réunions publiques avant le premier tour.

Les élections législatives subissent le contrecoup de l’interminable campagne des présidentielles qui, de prémisses en primaires, a monopolisé l’actualité de nombreux mois durant. La «passion» est retombée avec l’intronisation de François Hollande, et les électeurs peinent à se motiver pour ce nouveau scrutin.