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(Julien Pernici – Alta Frequenza) – Nouveau communiqué ce matin émanant de quatre des cinq maires de la Communauté d’Agglomération de Bastia à l’exception notable et intéressante de Michel Simonpietri, maire de Furiani et proche de Paul Giacobbi.

(Julien Pernici – Alta Frequenza) – La démission, c’est maintenant. Voilà en sorte le crédo exposé par l’opposition municipale de Bastia suite aux évènements de ces derniers jours.

Au départ, nous refusions et fustigions le clanisme et l’assistanat auxquels semblait vouée notre société corse. Les caciques clanistes ont laissé la place à leurs rejetons. Puis d’autres ont surfé sur le clientélisme, et le danger d’un néo-clanisme de bon aloi se profilait à l’horizon.

Après une communication de l’Associu Sulidarità, et une conférence de presse commune « Sulidarità, Università Di Corsica« , c’est au tour de Ghjuventù Indipendentista de monter au créneau pour dénoncer la situation carcérale de son militant, Nicolas Battini, incarcéré depuis presque deux ans.

A l’issue des dernières élections départementales, certains responsables politiques ont cru bon de relayer des allégations aussi farfelues qu’infondées quant à une hypothétique connivence entre Corsica Libera et le « système conseil général », prolongeant ainsi des accusations portées en sous-main par certaines organisations.

(FRANCE 3 CORSE) Dans un communiqué commun les maires de 4 des 5 communes – tous sauf Furiani – de la Communauté d’Agglomération de Bastia (CAB) demandent à François Tatti de démissionner de son poste de président précisant qu’il « a perdu la confiance de cette majorité ».  

(FRANCE 3 CORSE) Communistes et radicaux dénoncent « un blocage » après l’éclatement de la majorité de Gilles Simeoni qu’ils ont toujours qualifiée de « contre nature ». 

(CORSE MATIN) Les grandes manœuvres du lundi n’étant pas celles du mardi, nouvel épisode hier dans le feuilleton du duel fratricide entre les deux prétendants au fauteuil de la présidence.

(CORSE MATIN) Les grandes manœuvres du lundi n’étant pas celles du mardi, nouvel épisode hier dans le feuilleton du duel fratricide entre les deux prétendants au fauteuil de la présidence.

La création d’une Société Publique Locale (SPL) ne pose pas de problème de principe qui pourrait conduire à la refuser. Il ne s’agit pas d’autre chose que d’un outil d’aménagement au service des collectivités (Ville – CAPA).