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En ce début de septembre 2013, le mouvement national a fait sa rentrée politique : Les militants de la Ghjuventù Indipendentista ont ouvert la marche début septembre, suivi par Corsica Libera, puis le Rinnovu Naziunali, et enfin par Femu A Corsica. Voici les reportages de France 3 Corse, en les remerciant 🙂

Pour sa rentrée politique, le mouvement indépendantiste Corsica Libera met les élus territoriaux au pied du mur. A 12 jours du vote sur la réforme constitutionnelle et à un mois du débat sur le statut de résident, qui se tiendra fin octobre à l’Assemblée de Corse (CTC), il enjoint les membres de la majorité régionale à assumer leurs responsabilités en …

« Corsica Libera au centre du jeu ». C’est la position des observateurs. Certains s’en réjouissent, d’autres s’en alarment. Pour notre part, nous ne dirions pas les choses de cette façon. D’abord, parce qu’il ne s’agit pas d’un jeu mais de l’avenir de notre peuple.

[Vendredi 13 septembre 2013] Ce vendredi matin, Corsica Libera tenait une conférence de presse dans ses locaux Bastiais, en présence de ses élus de l’Assemblée de Corse. Corsica Libera lance un appel pour une position commune des nationalistes sur le statut de résident. (Interview sur le lien Alta Frequenza et Corse Matin ci dessous)

Le porte parole en Europe du MNLA qui réclame l’autonomie pour le nord du Mali était présent aux journées internationales de Corte.

Micros et caméras font partie de l’attirail utilisé par les services de police contre les nationalistes. Un nouvel exemple dans la région d’Ajaccio.

Le 4 août, lors des journées de Corte, vous invitiez l’Exécutif de l’Assemblée à se positionner sur la réforme constitutionnelle, notamment sur le droit de résidence que réclame « Corsica Libera » depuis quelques années.

(Alex Bertocchini – Alta Frequenza) – La saison touristique 2013 a été médiocre, selon le qualificatif employé par tous ceux qui de près ou de loin gravitent dans ce secteur économique.

(M.Lanfranchi & A.Bertocchini – Alta Frequenza) – Les corses qui partaient il y a vingt ans gardaient un espoir de retour, les corses qui partent aujourd’hui ont perdu cet espoir!

« À lire l’article de Stefan Ulrich dans le Süddeutsche Zeitung (Munich) « On assassine au paradis » (traduction en français dans Courrier international), notamment le passage sur le nationalisme corse dans lequel le journaliste semble s’étonner de la position des élus de Corsica Libera ne condamnant pas le FLNC :