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Candidat à Bastia, ce dirigeant de Corsica Libera nous détaille les objectifs de son mouvement lors des municipales en évoquant les différentes stratégies locales des nationalistes.

Alors qu’ils dirigent déjà quelques dizaines de petites mairies en Corse, les nationalistes « modérés » et « radicaux », parfois ensemble, comme à Ajaccio , se sont jetés dans les bagarres municipales. Où, partout, ils sont en position, si ce n’est de gagner, de jouer un rôle important.

 Voici un article du RIBOMBU à paraitre dans le numéro de janvier 2014 (source facebook) Chacun connaît Gaston Pietri en Corse, tant sa rhétorique pesante et politiquement correcte est volontiers diffusée par les médias. Il est devenu, depuis de trop longues années, le porte parole de fait de l’évêché insulaire…

Le candidat nationaliste aux municipales souhaites la rupture avec l’actuel système de gouvernance et propose sa vision du développement «qui doit replacer les Porto-Vecchiais au coeur des préoccupations»

 Corsica Libera apporte son total soutien à l’ensemble des jeunes en lutte à l’appel de la Ghjuventù Indipendentista, pour défendre leur droit à un avenir sur leur terre.

Celui qui mène la liste nationaliste unie aux prochaines élections municipales revient sur la démarche originale du mouvement à Ajaccio. Sans concession pour le maire sortant, il évoque sa vision de la ville

Hè ghjuntu 2014. Tuttu ognunu si dumanda ciò ch’ellu purterà, è presenta i so auguri di pace è di salute, cum’è s’ellu ùn si pudia  fà di più: precà è aspetta… Hè capita chì certe cose cum’è a salute ùn si cumandanu micca.

(Alex Bertocchini – Alta Frequenza) – Conflit à la SNCM: Corsica Libera tient pour sa part à enfoncer le clou à propos de ce qui se passe et qui aurait pu être à son sens évité.

Le mouvement indépendantiste de Balagne (représentants de la Ghjuventù Indipendentista, de Corsica Libera, ainsi que des militants et sympathisants de toutes tendances) a décidé de se réunir aujourd’hui à Lumiu pour informer la population de sa position quant aux prochaines élections municipales qui se tiendront en mars prochain.

Le préfet de Corse Christophe Mirmand a estimé jeudi 2 janvier sur l’antenne de France Bleu RCFM, que le problème de l’indivision pourrait être résolu par un texte de loi sans pour autant réformer la Constitution. Une déclaration qui n’est pas du tout au goût des nationalistes.