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(Unità Naziunale – Publié le 31 janvier 2001) Le comité anti-répression et Corsica Nazione se mobilisent une nouvelle fois pour demander au gouvernement le  » droit à la dignité pour les prisonniers » et leur regroupement la maison d’arrêt de Borgo.

(Unità Naziunale – Publié le 24  et 25 décembre 2000) Jean-Marie Poli, porte-parole du Comité anti répression était toujours entendu dans les locaux de la section de recherches de la gendarmerie ce 25 décembre. Il avait été interpellé la veille (le 24 décembre) sur commission rogatoire du juge Laurence Le Vert dans le cadre d’une affaire qui n’a pas été précisée.

(Unità Naziunale – Publié le 19 décembre 2000) À l’initiative du Comité anti-répression, une manifestation de soutien aux prisonniers corses est organisée, aujourd’hui samedi, à Ajaccio. Au cours d’une conférence de presse, à Bastia, les porte-parole ont rappelé les conditions de détention et lancé un nouvel appel pour leur regroupement en Corse.

(Unità Naziunale – Publié le 18 décembre 2000) Quinze jours après avoir été mis en examen et écroué à Paris, Olivier Sauli a été remis en liberté. Il reste placé sous contrôle judiciaire.

(Unità Naziunale – Publié le 2 décembre 2000) Le regroupement des prisonniers à Borgo « comme un acte d’humanité élémentaire »

(Unità Naziunale – Publié le 26 novembre 2000) Selon la presse, Des heurts entre gendarmes mobiles et nationalistes avec échanges de cocktails molotov contre grenades lacrymogènes,  se sont produits dimanche après-midi devant la prison de Casabianda, près d’Aléria.

(Unità Naziunale – Publié le 21 novembre 2000) « Les prisonniers corses sont dans leur intégralité, partie prenante du processus Matignon, ils doivent bénéficier de la même considération qui est actuellement donnée au projet en cours pour la Corse. »

(Unità Naziunale – Publié le 18 novembre 2000) « Le comité anti répression rappelle l’intolérance du gouvernement français sur le douloureux sujet des détenus corses.

(Unità Naziunale Publié le 13 novembre 2000) « Les « orientations » de Matignon ont enclenché chez certains « républicains » une véritable crise d’hystérie verbale.

(Unità Naziunale – Publié le 2 novembre 2000) Le comité anti-répression et l’Associu Patriottu ont distribué de nombreux tracts à Bastia pour affirmer leur soutien à « tous les prisonniers politiques corses sans exception ».