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2% c’est drôlement mieux que le misérable 1% de la grande métropole ! Oui mais disent les grincheux ,c’est 2% de rien du tout…

(Alex Bertocchini – Alta Frequenza) – Nous vous en parlions dès hier (jeudi),  le STC a manifesté devant les locaux de l’Agence Régionale de Santé pour protester contre le relevé de décision présenté par l’ARS.

Afin de donner un vernis un peu plus »scientifique » à un sondage curieusement commandé à quelques jours des législatives, corse matin convoque au débat Jérome Fourquet, sondeur émérite et habitué des grandes émissions qui expliquent au commun pourquoi et comment se serrer la ceinture.

« C ‘est du moins ce que laisse penser la une fracassante de JM.Rafaelli qui se fait une joie de nous révéler qu’un sondage organisé par radio-paris conclut à la marginalisation des indépendantistes-12%-

Dans un peu plus d’une semaine, le grand chambardement français sera terminé avec l’élection de l’Assemblée Nationale. Nouveau Président de la République, nouveau gouvernement, nouvelle majorité au Sénat (c’est déjà le cas) et à la Chambre des Députés (c’est pas encore fait), les cartes sont totalement rebattues à Paris.

Drapeaux et pancartes en l’air, autocollants sur les vestes, applaudissements : les sympathisants, maires et autres élus de droite ont réservé une jolie arrivée à Stéphanie Grimaldi et Jean-Baptiste Castellani au cinéma l’Alba de Corte.

Le candidat nationaliste de Porto-Vecchio monte au créneau pour mettre en garde les « bricoleurs», artisans d’une éventuelle « triangulaire acrobatique ». Explications.

C’est la plus grande circonscription de l’île, avec ses 18 cantons et ses 191 communes (soit 53% des 360 que compte la Corse). Elle lie le destin de trois – voire quatre – entités bien distinctes et même très différentes : Centre Corse, Balagne, Plaine orientale – de Vescovato à Solaro -, Castagniccia-Alesani.

(Michaël Andreani – Alta Frequenza) – Alors que la campagne des législatives prend fin ce soir (vendredi) à minuit, les différents candidats et partis politiques tentent le tout pour le tout pour remporter l’adhésion d’un maximum d’électeurs, dans le court laps de temps qu’il leur reste.

Paul-Antoine Luciani est une figure de la politique ajaccienne. Suppléant d’Antoine Ferraci et de Paul Borelli dans les années 1990, il est candidat pour la troisième fois dans la première circonscription de la Corse-du-Sud. Premier adjoint d’Ajaccio, il se présente « à côté » du maire, Simon Renucci, pour faire vivre les idées du Front de gauche. Rencontre.