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Le procès en appel des cinq personnes soupçonnées d’avoir aidé Yvan Colonna pendant sa cavale s’est ouvert ce jeudi après-midi à Paris en l’absence du principal intéressé qui, comme Corse Net Infos l’avait annoncé hier, a refusé d’y participer.

A quelques jours de débats décisifs à l’Assemblée de Corse (CTC), notamment sur le projet de co-officialité de la langue corse, Inseme per a Corsica tenait son assemblée générale dimanche à Corte.

En mai, le centre culturel de la Plaine orientale Anima lance « La plaine est dans la rue ». Une manifestation pour laquelle ce ne sont pas les spectateurs qui se déplacent, mais les spectacles.

L’avocat général de la cours d’appel de Paris a requis jeudi 10 avril jusqu’à 5 ans avec sursis pour les soutiens présumés à Yvan Colonna, tout en demandant la relaxe pour deux d’entre eux. Dans l’affaire de détention d’armes elle a requis un an de prison ferme contre l’ancien berger de Cargèse.

En pleine confiance à l’image de son équipe, Julian Palmieri aborde avec sérénité la prochaine étape du championnat qui verra les bleus se déplacer dans le Morbihan. Pour le latéral gauche, il n’est bien évidemment pas question de lâcher.

Si le petit peuple chypriote ne se trouvait pas dans une situation aussi tragique, le remède économique imposé par l’Europe à cette petite île de l’Europe orientale, prêterait à rire.

Le collectif de la société civile corse, qui s’est constitué au lendemain, de la non-prorogation par le Conseil d’Etat des dispositions contenues dans les Arrêtés Miot, annonce dans un communiqué qu’il a tenu, Jeudi dernier, une seconde réunion de travail à Bercy.

De la relaxe à 5 ans de prison avec sursis, assortis de privations de droits civiques, civiles et familiaux. Telles sont les réquisitions du ministère public devant la cour d’appel de Paris à l’encontre des 5 personnes. 

Lourdes sanctions visant le GFCA et ses dirigeants/ Des décisions qui font suite aux incidents qui avaient émaillé la fin de match à Mezzavia entre le GFCA et Monaco. L’arbitre du match Tony Chapron avait déposé plainte après la rencontre pour outrage, violences et menaces.

Les Corses ne plaisantent pas avec « l’hospitalité » : une tradition sacrée. Jeudi, devant la cour d’appel de Paris, les prévenus l’ont fièrement répété. Histoire de justifier le soutien qu’ils ont apporté à Yvan Colonna pendant sa cavale, entre mai 1999 et juillet 2003, date de son interpellation.