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Sous la force du vent qui souffle depuis plusieurs heures sur Ajaccio, un pin est tombée dimanche matin à l’entrée de résidences des îles, sans faire de blessés. L’arbre s’est couché sur l’une des routes d’accès de la résidence, rue de l’Archipel, empêchant à ce niveau la circulation.

Comme souvent, Nicolas Alfonsi n’y va pas avec le dos de la cuillère. En séance plénière, il a posé une question d’actualité au ministre de l’Intérieur. L’actualité, c’est la violence en Corse, bien sûr. Le sénateur ne mâche pas ses mots pour dénoncer les défaillances et les connivences qui minent la Corse.

Une cinquantaine de policiers d’Ajaccio et de Bastia participaient ce vendredi matin à un entraînement au maintien de l’ordre sur les stades de football. Le but de cette formation est de mettre en place des pratiques communes afin de gérer au mieux la ferveur des supporters et d’éviter les débordements.

Jeudi 25 octobre, la commission de discipline de la Ligue de Football Professionnel s’est réunie comme chaque semaine pour étudier les matchs passés.

Le ministre Stéphane Le Foll rencontre aujourd’hui les agriculteurs à la préfecture d’Ajaccio. A cette occasion, le président de la chambre régionale d’agriculture de Corse, Jean-Marc Venturi, fait le point. 

Au moins quatre personnes ont été interpellées hier matin à Ajaccio dans le cadre d’un dossier instruit par la juridiction interrégionale spécialisée de Marseille.

Après la parution dans les colonnes de Corse-Matin d’un article intitulé «Les arrêtés Miot prorogés d’une voix… celle de Camille de Rocca Serra » (notre édition du 19 octobre dernier), le député de Haute-Corse et président du conseil exécutif de Corse, Paul Giacobbi, a souhaité réagir et apporter des précisions.

Côté nationaliste, les commentaires sont plus sévères. Corsica Libera, Femu a Corsica et Rinnovu s’inquiètent du fait que le gouvernement fasse l’amalgame entre le droit commun, le grand banditisme et la violence politique. Ils dénoncent le « mélange des genres ».

Le syndicat estime que le député de Haute-Corse manque de « courage politique » alors que l’exonération des droits de succession a été reconduite jusqu’en 2017 par l’Assemblée nationale.

Dans une interview exclusive accordée à Corse-Matin, le ministre de l’Intérieur estime « qu’il faut s’attaquer en profondeur aux causes de la violence qui ne cesse de s’accroître ». Il se dit « inquiet »