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(Unità Naziunale – Lutte internationale – Publié le 26 novembre 2022)  Un prisonnier politique tibétain qui a purgé six longues années de prison pour des crimes politiques fabriqués est décédé au début du mois des suites de blessures prolongées subies lors de sa garde à vue par la police chinoise, a indiqué une source fiable.

(Unità Naziunale – Lutte internationale – publié le 12 décembre – Source) « QUI NE DIT MOT CONSENT » ! UNE NOUVELLE FOIS L’ EUROPE VA-T-ELLE SE DÉCLARER ENCORE ET ENCORE « PRÉOCCUPÉE ».

Pema Gyaltsen, connu sous le nom de Pegyal, dans sa famille et par ses amis, âgé de 24 ans, s’est auto-immolé par le feu, ce samedi 18 mars 2017, à Nyarong, dans la province tibétaine du Kham ; ceci porte le nombre des ces immolations à 147 depuis 2009.

Dharamshala – Tashi Rabten, un Tibétain, père de trois enfants, s’est immolé par le feu jeudi dernier dans le comté de Machu au nord-est du Tibet. Il est mort le même jour, laissant une lettre pour expliquer son geste.

(www.unita-naziunale.org – 15h30 24 février 2017) Nous vous informions il y a quelques jours le cas de Sonam, jeune tibétain demandeur d’asile, expulsé vers l’Italie, par une Préfecture du pays ami. 

Dans le but de renforcer le contrôle sur les voyages des Tibétains en dehors de la Chine, les autorités chinoises ont saisi les passeports des Tibétains revenant de sites bouddhistes en Inde et au Népal, détruisant parfois les documents devant eux.

Comme chaque année depuis 2008, la Chine a de nouveau fermé la région autonome du Tibet aux voyageurs étrangers non chinois, du 25 février au 1er avril. Une fermeture qui n’a été précédé d’aucune annonce officielle.

Voici un texte et des photos avec prière d’insérer :

En 2010, le port du Pirée, celui qui dessert Athènes était privatisé et vendu à un groupe chinois, la China Ocean Shipping Company (Cosco), premier armateur chinois (contrôlé par l’État), qui aujourd’hui reluque d’autres ports grecs.

Un Tibétain est mort et un autre s’est grièvement blessé en tentant de s’immoler par le feu dimanche à Lhassa, la capitale du Tibet qui jusque-là n’avait pas enregistré de tels actes désespérés, accomplis en réaction à la tutelle implacable de la Chine.