LLN

Voici la préface de Petru Rossi au projet de Constitution pour une Corse indépendante publiée par le site internet du Partitu Per l’Indipendenza (PPI) en 1999.

En 2006, tout comme en 2013, certains pensent pouvoir se revendiquer des fondamentaux de la lutte, bien assis derrière un écran d’ordinateur ou de télévision, en laissant les autres, militants de la LLN, partir devant, prendre tous les risques… 

Le 11 JUILLET 1991 : Le comité interministériel pour la Corse est vite expédié. Discussion sur le gazoduc et l’industrialisation de l’île. … storiacorsa.unita-naziunale.org/h1991.htm –

Le 10 juillet 2000. Le gouvernement propose aux élus corses de leur accorder  » un pouvoir législatif partagé et encadré à titre expérimental « .

Dans un article au titre accrocheur « la jeunesse nationaliste corse se radicalise » le figaro laisse entendre que la re-structuration de la Ghjuventù Indipendendista en novembre 2012, d’un syndicat étudiant en mouvement de jeune est nouvelle et qu’elle se radicalse, alors que c’est le fondement même de la Ghjuventù Indipendentista depuis 1999 d’être un syndicat, et un mouvement de jeune de …

(Michaël Andreani – Alta Frequenza) – La Ghjuventù Indipendentista avait prévu d’occuper ce dimanche à partir de 14 heures le Club Méditerranée de Sant’Ambroghju sur la commune de Lumiu en Balagne. Une importante présence de forces de répression l’en a empêché, qu’à cela ne tienne, les jeunes du mouvement Ghjuventù Indipendentista, ont quand même réussi leur communication. 

Finit le temps des « antifada » lancées par les militants de la Cuncolta Naziunalista, finit le temps où le FN et Cie représentaient l’ennemi viscérale de la LLN. Les temps changent et dans tous les domaines. Le FN s’exprime et peut déverser ses idées coloniales sans que cela n’émeuve plus grand monde.

Pour l’avenir de la Corse et des Corses, un Président français en remplace un autre. Les prisonniers politiques ne sont pas rapprochés pour autant, l’autonomie voir l’indépendance de la Corse n’est pas au programme du prochain quinquennat.

C’est le journal en ligne « Le point » qui l’annonce : Martin Ottaviani, l’un des membres du commando qui a assassiné le préfet Claude Érignac, le 6 février 1998, en Corse, va retrouver la liberté le 19 avril prochain.

Joseph Sisti dit « jo » et son beau frère, Jean Louis Chiodi,  ont été tués par balles dimanche en fin d’après-midi au lieu-dit Maison Pieraggi, à Ghisonaccia, près d’Aleria (Haute-Corse), dans la plaine orientale.