STAMPA NUSTRALE

Il y a 20 ans jour pour jour, une tribune du stade Armand-Cesari s’effondrait à Furiani avant le match SC Bastia-OM : 18 morts, 2357 blessés.

Frederic Antonetti, l’entraîneur du Stade Rennais, s’est aussi exprimé sur ce 20ème anniversaire. Lui qui est né à Venzolasca en Haute-Corse n’a pas oublié. Lors de la catastrophe de Furiani, le 5 mai 1992, il était le responsable des sections jeunes du club, avant de devenir plus tard le coach de l’équipe première.

C’était il y a vingt ans. Le mardi 5 mai 1992, à 20 heures, 20 minutes et quelques secondes d’éternité. En cette nuit de printemps, le stade Armand-Cesari est le théâtre d’un peuple corse en liesse.

Vingt ans après la catastrophe de Furiani, ses 18 morts et plus de 2.000 blessés qui ont traumatisé la Corse et le monde du football, le souvenir reste douloureux pour les victimes et leurs proches qui refusent l’oubli et sont choqués par l’interminable saga de la reconstruction du stade.

Né en Corse et présent au stade de Furiani le 5 mai 1992 lors de l’écroulement d’une tribune provisoire, qui avait entraîné la mort de 18 personnes,Frédéric Antonetti se remémore cette terrible soirée. 

Celui qui était le milieu récupérateur de l’OM n’a pas oublié le drame qui s’est déroulé le 5 mai 1992, à quelques minutes d’une demi-finale de Coupe de France contre Bastia. Vingt ans après, très ému, il témoigne pour RMC Sport.

Il n’y a pas de foot pro ce samedi en France en hommage aux 18 hommes et femmes victimes du drame de Furiani en Corse. Reportage.

INTERVIEW – L’ancien gardien corse de l’OM, traumatisé par l’événement, s’est coupé du monde du football… Après dix-sept années de carrière, l’ancien gardien de Bastia et de l’OM n’est plus vraiment en phase avec le milieu du foot.

Il y a vingt ans, Jean Fernandez était au cœur du drame de Furiani. A l’époque, il était entraîneur-adjoint de l’OM de Bernard Tapie et Raymond Gœthals.