Billet

La conférence de presse de Bastia consécutive à la dernière rafle de jeunes patriotes a suscité une maladroite tentative de justification de la Gendarmerie, relayée par le quotidien unique. Les patriotes corses se posent et posent aux vaillants pandores un certain nombre de question d’ordre « opérationnel » :

Vu en 2014 dans une démocratie européenne : des dizaines de gendarmes font irruption arme au poing au domicile d’une jeune femme corse…

A bien considérer le paysage politique , social et économique de la Corse à la veille de la nouvelle élection municipale d’Aiacciu, nous devrions nous interroger sur la pertinence de nos revendications dites « nationalistes » et sur les organisations qui sont censées les porter.

« Le peuple corse devrait, sans délai, appréhender les évidences, ne plus se complaire dans l’indifférence ou le laxisme. Il est urgent de contrer sévèrement la vague de la dépossession et de la destruction du cadre de vie ; les dégâts sont déjà trop sévères mais la partie n’est pas perdue si nous savons être le fer de lance de la …

Eccu, l’hannu fatta, i capizzoni di a lega di ballò francesu annu cundannatu Ghjuvan Luiggi LECA, ghjucatori di u SCBastia a due scontre di ballò di suspenzione, unu incù sursis. Hannu dicisu chedd’era eddu u rispunsevule di pruvucazione (per essa intratu anannt’a u tarennu di Nizza incù a so bandera corsa). S’edd’un hè razzisimu quessa, chi ghjè ?

Le projet de Padduc de la droite avait été retoqué; Il faisait alors de la Corse, vouée au tout-tourisme, une zone résidentielle pour les riches (il y avait même un projet de village-réserve d’autochtones !)…

L’affaire de la suspension de Zidane pour exercice du métier d’entraîneur en l’absence du diplôme exigé, a pris une tournure politique en Espagne. Elle oppose le tout puissant président merengue Florentino Perez à la Fédération espagnole.

Le président qatarien du conseil de surveillance du PSG, autrement dit le patron, a demandé une sanction très lourde contre Brandao.

Quand des incidents éclatent en corse, » petit bout de région française plus près de l’italie que de la france »,  suite à une « manifestation nationaliste », c’est une montée au créneau généralisée contre les casseurs « natio ». Rapidement des cris d’orfraies se font entendre dans les rangs républicains et bien pensant, comme un « berger allemand » aux ordres de son maître.

Alors que la Corse connait des conflits sociaux d’importance comme à la SNCM ou à la poste d’Ajaccio, où en est le syndicalisme dans l’île ? Trois responsables syndicaux, Nathalie Federici (CFDT), Jean Brignole (STC) et Jean-Pierre Battestini (CGT) livrent leurs attentes sur France 3 Corse.