In Lingua Nustrale

A municipalità d’Aiacciu hà dicisu d’allargà e so cumpetenze per ciò chì tocca à a lingua corsa. Dopu à un impegnu maiò in stu dumeniu, un serviziu lingua è cultura hè statu messu in piazza.

Le rapport présenté par François Alfonsi sur les langues en danger a été adopté à l’unanimité de la commission de la culture du Parlement européen ce 18 juin 2013. 

Le collège Simon-Vinciguerra et le lycée Giocante ouvrent, pour la première fois en Corse, leurs bancsau mandarin. Une petite révolution que le recteur et l’inspecteur général de chinois sont venus présenter

(Michaël Andreani – Alta Frequenza) – A Sittimana di a lingua corsa s’hè compia arisera (dumenica) in Aiacciu, urganizata da a municipalità cù u sustegnu di a Cullettività Tarrituriali di Corsica.

José Risticoni, secrétaire exécutif du Front National de Corse-du-Sud, réagit de la sorte aux récentes déclarations de paul Giacobbi, président du conseil exécutif de Corse.

A l’occasion d’« a sittimana di a lingua corsa », l’auteur Ceccè Ferrara « dittu Sanniconu », souhaite apporter quelques précisions quant à l’orthographe et la prononciation des localités et de certaines expressions idiomatiques propres à la région, et dénoncer les dérives linguistiques devenant au fil des ans des règles. Plus d’informations dans notre édition du 7 juin 2013

Ange-François Filippi urganizeghja pà u GRETA u Certificatu di lingua corsa. Issu certificatu hè in traccia di mutà prisintazioni è andatura. L’emu dumandatu di chì si tratta.

L’examen du Projet de loi de Refondation de l’école s’est achevé cette nuit à l’Assemblée nationale, et à affirmer la nouvelle place donnée aux langues régionales.

Les propos du ministre de l’Intérieur sur l’officialité de la langue corse suscitent encore des réactions. Jeudi 6 juin, lors des questions d’actualité à l’Assemblée de Corse, le président de l’exécutif, Paul Giacobbi a fermement exprimé sa volonté de conduire la réforme « jusqu’au bout ».

En réunion depuis ce jeudi matin, les élus de l’assemblée de Corse ont, une nouvelle fois, évoqué le statut de coofficialité. Répondant à une question de Jean-Guy Talamoni sur la signature de la charte de la langue corse, Paul Giacobbi a précisé qu’il « ne ne désarmait pas ».