Simeoni Gilles

(Alta Frequenza) Une résolution prioritaire portant sur la sécurité publique et l’intégrisme islamiste a été présentée par le Président du Conseil Exécutif et celui de l’Assemblée de Corse. 

Monsieur le Président de l’Assemblée de Corse, Mesdames et Messieurs les élus, Chers collègues,

(Alta Frequenza) Corse-Matin et la Collectivité territoriale de Corse ont signé mercredi dernier la Charte de la langue corse.

(Alta Frequenza) La Ligue des Droits de l’Homme, elle aussi, a réagi plus que vivement après l’annulation par le tribunal d’instance de Paris de la candidature du STC aux élections dans les TPE du 28 novembre au 12 décembre prochains. .

C’est la fin de l’année scolaire et la saison de remise des bulletins… de note.

(Alta Frequenza) Le Premier ministre Manuel Valls et cinq autres membres du gouvernement sont donc en Corse ce lundi. Une visite qui a débuté par Ajaccio et la préfecture de région avec au menu la réunion conclusive sur les groupes de travail consacrés à la langue corse, à la fiscalité, aux institutions et aux intercommunalités. 

Monsieur le Premier ministre, Mesdames et Messieurs les ministres, Messieurs les préfets, Messieurs les parlementaires , Monsieur le Président de l’Assemblée de Corse, Messieurs les présidents des Conseils départementaux, Mesdames et Messieurs les conseillers,

Voici le communiqué des présidents du Conseil Exécutif et de l’Assemblée de Corse en réaction aux déclarations de François Tatti. Les présidents Gilles Simeoni et Jean-Guy Talamoni ont réagi dans un communiqué commun à la mise en cause du président du Syvadec intervenue vendredi 2 juillet : 

Le Président Gilles Simeoni, dans le courrier qu’il a adressé ce 29 juin 2016 au Premier Ministre, Manuels Valls,  afin de l’inviter à réfléchir sur la question, à l’occasion de son déplacement dans l’île prévu lundi, distingue la théorie et la pratique.

(CORSE MATIN) L’homme politique qu’est Gilles Simeoni, président de l’Assemblée de Corse, parle de « prisonniers politiques corses », à un Premier ministre, Manuel Valls, qui n’a pas appris cette notion dans le code de procédure pénale.