Riacquistu di Portivecchju

Arimani, pà l’alizzioni legislativi, avemu cunisciuti mumenti straurdinarii , ricchi di gioia è d’emuzioni. Mumenti chi , un militanti ùn pò sminticà . 3 candidati naziunalisti è i so suppleenti so stati eletti deputati !

Avec 30,03 % des voix exprimées sur la commune, les candidats nationalistes – Paul André Colombani et Pierre José Filipputti – arrivent en seconde position derrière le député sortant Camille de Rocca – Serra et sa suppléante Valérie Bozzi ( 43,25 % ) et devancent les candidats de la Majorité Présidentielle, Jean Charles Orsucci et Jean Baptiste Luccioni (20,36 %). …

L’analyse du résultat des élections présidentielles françaises sur notre commune met en évidence un résultat sensiblement identique à ce que connait la Corse avec :

Dumenicu Tafani hè un militenti di u nosciu rughjonu cunisciutu da tutti. So anni e anni ch’iddu hè sempri in prima fila, contr’à l’inghjustizia pulitica è suciali.

U Riacquistu di Portivechju chjama tutti i ghjovani purtivichjacci è  l’aghjenti di u rughjonu à participà à l’addunita urganizzata in Corti u 5  d’aprili da a Cunsulta di a Ghjuventù Corsa e di a Ghjuventù  Indipendentista.

(Article du 24 janvier 2017)  » Macchja, n’avemu un antra… ». Hè u titulu di a magnifica puesia di Ghjuvan Teramu Rocchi è cantata da a Filetta. Hè dinò incù ‘ssa citazioni chi vurraria ramintà à « Dédée ».

Alors que beaucoup aspirent à l’apaisement politique en Corse, notre jeunesse demeure la cible privilégiée des appareils policiers et judiciaires français. Ni sa stigmatisation, ni la répression à son encontre ne viendront à bout de ses légitimes aspirations d’avenir.

Le verdict prononcé à Paris – par une Cour d’Assise Spéciale – à l’encontre de trois jeunes corses (Nicolas Battini, Stéphane Tomasini et Joseph Marie Verdi) suscite bien des interrogations et des indignations. Il amène tout autant des analyses.

Le lourd verdict prononcé à Paris à l’encontre de trois jeunes relève du choix délibérément politique. Il s’inscrit dans une volonté répressive qui signifie que l’Etat français récuse toute approche de négociation et de solution du problème – national – corse.

Nous devons tous être choqués et scandalisés par le récent verdict qui est horriblement lourd et injuste quand on le compare à des peines infligées à des dealers, des violeurs, des pédophiles… ou même aux casseurs de la sous-préfecture de Morlaix en 2014 …