Presos

(Unità Naziunale – Publié le 26 novembre 2000) Selon la presse, Des heurts entre gendarmes mobiles et nationalistes avec échanges de cocktails molotov contre grenades lacrymogènes,  se sont produits dimanche après-midi devant la prison de Casabianda, près d’Aléria.

(Unità Naziunale – Publié le 21 novembre 2000) « Les prisonniers corses sont dans leur intégralité, partie prenante du processus Matignon, ils doivent bénéficier de la même considération qui est actuellement donnée au projet en cours pour la Corse. »

(Unità Naziunale – Publié le 18 novembre 2000) « Le comité anti répression rappelle l’intolérance du gouvernement français sur le douloureux sujet des détenus corses.

(Unità Naziunale – Publié le 2 novembre 2000) Le comité anti-répression et l’Associu Patriottu ont distribué de nombreux tracts à Bastia pour affirmer leur soutien à « tous les prisonniers politiques corses sans exception ».

(Unità Naziunale – Publié le 30 octobre 2000) Le Comité anti-répression (Associu patriottu et Unità) a nommé, récemment (le 15 octobre 2000), une partie de ses représentants.

(Unità Naziunale – Publié le Vendredi 20 octobre 2000) Pierre Magni, entendu depuis mercredi 18 octobre 2000, au commissariat d’Ajaccio dans le cadre des recherches effectuées par la police pour retrouver Baptiste Canonici, a été transféré vendredi après-midi vers la capitale.

(Unità Naziunale Publié le 5 aout 2000) Une semaine après le vote de l’Assemblée de Corse, les nationalistes ont ouvert leurs « Journées internationales de Corte » pour réaffirmer leur extrême vigilance à l’égard du plan Jospin.

(Unità Naziunale publié le 25 décembre 1999) Voici la page du site libertà publiée en 1999/2000 après la condamnation de Carlu Santoni à 28 ans de prison et suite à la création de l’Association « Charles Santoni » en quête de justice.

CHARLES SANTONI, nationaliste corse et militant depuis l’adolescence, cet homme de 33 ans explique le tragique récit de la violence aveugle que se livraient les mouvances nationalistes au milieu des années quatre-vingt-dix. Une haine qui le mène aujourd’hui devant la cour d’assises spéciale de Paris où il est accusé d’avoir tué un policier du Raid et d’en avoir blessé deux …

Le 20 juillet 1999, le Président de l’Assemblée de Corse, JOSE ROSSI, a lu le mémoire de Me Felli, défenseur de Marcel Lorenzoni, afin que les conseillers territoriaux puissent exprimer leur opinion. Voici l’article de juillet 1999 :