Presos

Comme tous les ans à cette période l’Associu Sulidarità organise un grand Loto de soutien aux prisonniers politiques et à leurs familles. Il y aura comme l’année dernière de nombreux lots à gagner, ainsi que de quoi se restaurer sur place. 

Félix Benedetti, militant du mouvement Rinnovu Naziunali, a été interpellé, mis en garde à vue, déporté, écroué et incarcéré en moins de cinq jour le 6 mars dernier à Bastia.

A Ghjuventù Indipendentista et ses militants tiennent à réagir contre l’acharnement de la justice coloniale à l’encontre d’Olivier Peretti, Marc-Antoine Colleoni et Patrick Tesi. En effet ces patriotes repassent devant une cour d’exception et risquent d’être réincarcérés de nouveau.

Voici les nouveaux produits du mois d’Avril 2013 ! Stylo U Ribellu 2013, Tatouages temporaires, briquets et lampe porte-clé. En achetant ces produits vous aidez directement les prisonniers politiques ainsi que leurs familles.

«Le directeur de la maison d’arrêt de Borgo fait bien, et même très bien un travail difficile, son action s’inscrit dans la rigueur et l’humanité, il applique les règles pénitentiaires en tenant compte de la situation de chaque détenu», a déclaré le procureur général de la cour d’appel de Bastia, Marc Desert, en réaction aux récentes déclarations du président de …

La Ligue des droits de l’homme et Sulidarità estiment que les informations sur les mauvaises conditions de détention dans la prison ne remontent pas à la Chancellerie. Le départ du directeur est réclamé.

L’Associu Sulidarità et la Ligue des Droits de l’Homme organisent samedi 16 avril, à 15 heures, une réunion publique au théâtre/couvent Sant’Angelo, à Bastia, dans la rue du même nom, au dessus du palais de justice.

Réunion publique samedi 16 mars 2013 de 15h à 17h Théâtre rue San Angelo – Bastia organsiée par l’Associu Sulidarita et la Ligue des Droits de l’Homme de Corse.

Selon Mes Pascal Garbarini et Patrice Spinosi, « le film fait la démonstration de l’absence d’éléments probants sur la culpabilité du berger de Cargese».

La mobilisation ne désarme pas. Et elle commence à s’étendre. Les premiers à se plaindre de ce qui se passe depuis deux ans et demi à la maison d’arrêt de Borgo sont les détenus « politiques » rapprochés en Corse après des négociations multiples avec le gouvernement de Nicolas Sarkozy.