Presos

Ce 11 avril 2015, la Mairie de LIVIA a voté une délibération demandant l’amnistie totale des prisonniers politiques corses, ainsi que l’arrêt des poursuites contre l’ensemble des militants poursuivies pour des actes politiques.

Récidive des militants de Corsica Libera, Ghjuventù Indipendentista et de l’Associu Sulidarità ce soir sur Ajaccio lors d’une campagne d’affichage. Un affichage qui concerne la demande d’Amnistie pour les prisonniers politiques, les recherchés ainsi que tous les militants poursuivis pour des actes politiques.

Sulidarità tiendra une conférence de presse le vendredi 17 avril 2015, à partir de 10 heures au local de Bastia, rue Miot, pour dénoncer le sort réservé à Paul André CONTADINI et Stéphane TOMASINI et rappeler à travers ces deux cas particuliers le sort injuste qui est fait aux prisonniers politiques corses.

Le 17 avril (dossier en ligne), en plusieurs points de la planète, des initiatives verront le jour pour rappeler l’existence de prisonniers politiques. En effet, le 17 avril n’est autre que la Journée internationale des prisonniers politiques.

La demande d’amnistie des prisonniers et recherchés politiques corses, rencontre désormais de plus en plus d’échos favorables dans notre société.

En solidarité avec la résolution du premier congrès international dédié à la question des prisonniers politiques dans le monde, l’Associu Sulidarità partie intégrante du congrès « KALERA » participe chaque année au mois d’avril à une évocation solennelle de cette problématique.

Toujours dans le cadre de la campagne pour une loi d’amnistie, la Mairie de PERI a voté une délibération en faveur de l’amnistie des prisonniers politiques corses le 1er avril dernier. 

Dans le cadre de la journée internationale des prisonniers politiques, sulidarità lance une action de grande envergure sur Corti. Il s’agit de la réalisation d’une banderole participative.

Dimanche 5 avril 2015 17h : Concert de soutien à l’Anarchist Black Cross – Paris/Banlieue organisé par le Collectif Contre Culture

(CORSE MATIN) Jusqu’alors la question n’avait jamais réellement posée publiquement mais depuis l’affaire Nicolas Battini, nombreux s’interrogent sur la liberté ….d’étudier en prison. Plus exactement sur le droit pour un détenu de préparer « décemment » sa réinsertion professionnelle.