Colonna Yvan

La libération d’Yvan Colonna, condamné pour l’assassinat en 1998 du préfet Erignac, « n’est pas dans le débat », a dit Gilles Simeoni, nouveau président du Conseil exécutif de la Collectivité territoriale de Corse (CTC), après la victoire des nationalistes aux régionales.

(article du 20 décembre 19h00) Ce soir dans l’émission de France 3 Corse Via Stella, interrogé par les journalistes, Gilles Simeoni a rappelé la position de Pè A Corsica sur la question du rapprochement des prisonniers politiques, l’amnistie (et des recherchés) et donc la libération de ces prisonniers politiques( ce qui a été voté en Corse par l’Assemblée, les conseils …

(article du 27 aout 2015) Après l’heureuse initiative de deux expositions rendues possibles selon l’idée de Génaro et la généreuse implication d’artistes donateurs, nous sommes un petit groupe de membres du Comité de Soutien à Yvan Colonna à avoir proposé au CDFI d’une part, et à Jean-Hugues Colonna d’autre part, une tombola pour les membres du Comité pouvant répondre à …

Deux des hommes condamnés pour l’assassinat du préfet de Corse Claude Erignac en 1998, Alain Ferrandi 55 ans et Pierre Alessandri 58 ans, estiment que leur geste ne serait pas à refaire et évoquent un « échec politique ».

(CORSE NET INFOS) « Yvan Colonna, la traque » : l’émission de France 2 « Faites entrer l’accusé » était consacrée ce dimanche soir à l’assassinat du préfet Claude Erignac.

(Corse Matin) Le documentaire de Benoit Bertrand-Cadi, diffusé ce soir sur France 2, réunit de nombreux témoignages inédits dont celui de Joseph Versini, membre du commando, et de Dominique Coujard qui a présidé le premier procès

Retour sur les principales étapes de cette affaire qui a donné lieu à pas moins de cinq procès aux assises. 

Un document de Benoît Bertrand Cadi ce soir sur France 2

Le samedi 7 novembre 2015 à partir de 17h aura lieu une soirée d’information et de musique organisée par la LDH. Soirée à la Maison de la Région , 61, la Canebière à Marseille (près de la gare St Charles)

(Corse Matin) Non, Claude Guéant, jugé pour avoir peut-être puisé dans la caisse des fonds spéciaux du ministère de l’Intérieur, ne se serait pas servi à des fins personnelles du liquide ainsi détourné.