Mouvement National

Dans un courrier en date du 12 mai 2017, le STC CAB souhaite la bienvenue, à sa manière, au nouveau DGS.

(22 mai 2017) Dans le Corse matin : Face à la polémique suscitée par le projet d’installation, au sud de Bastia, d’une halle commerciale de type « Grand Frais », dix élus de la majorité communautaire assurent que ce dossier n’a pas été validé. Il devrait être « retravaillé » Pour le Rinnovu Naziunali le 21 mai :  Le bureau de la CAB, au …

Les rapports s’enveniment entre l’Etat et de nombreux jeunes dans différents domaines , le sport, l’université et ses manifestations.

« Nous avons, dès 5h30 ce matin, cadenassé toutes les voies d’accès à la gendarmerie de Corti.

Dans le cadre d’un accord programmatique, les mouvements et partis, Femu a Corsica, Corsica Libera, Partitu di a Nazione Corsa et Inseme per a Corsica, ont décidé de présenter des candidatures aux prochaines élections législatives.

Certains, soit par confort – ou paresse – intellectuels, soit par un aveuglement dogmatique faisant fi de la réalité, pourraient être tentés de relativiser l’importance des prochaines élections législatives en Corse. Pourtant, les enjeux sont considérables.

La diaspora corse a commencé à s’organiser dans les années 1970 avec la création de l’UTCE, « Unione di i Travagliadori Corsi » (journal U ritornu). La plupart de ses animateurs étant rentrés dans l’Île pour s’y installer et participer activement au développement du mouvement nationaliste de l’époque, cette structure a disparu.

La Corse arrive à une période cruciale de son histoire ; elle a commencé à retrouver les espaces de liberté , de responsabilité ( Mairie de Bastia, CTC, Commission des Îles de la CRPM). Elle peut donc dès aujourd’hui commencer à construire son futur avec toutes les forces de progrès de l’île et de la diaspora.

On ne présente plus Canta u Populu Corsu, plus qu’un groupe, une icône de notre patrimoine commun. Crée au début des années 70, le style musical et les voix polyphoniques ont permis à ce groupe de faire connaître notre langue, notre terre au-delà de nos frontières.

« La LDH s’inquiète des nombreuses interpellations de jeunes gens, dont des mineurs, qui se sont succédé ces dernières semaines. Elle s’inquiète des tensions que suscitent ces séries d’arrestations en ce qu’elles grandissent un fossé d’incompréhension entre les jeunes et les institutions policières et judiciaires.