Mouvement National

Le 9 Avril 2012 (source www.unita-naziunale.org) : Joseph Sisti, dit « jo », militant historique de la cause Corse, a été assassiné avec son beau frère, Jean Louis Chiodi, dimanche 8 avril dans la région de Ghisonaccia. 

Double-Assassinat à Pietroso. Jo Sisti et son beau-frêre Jean-Louis Chiodi ont été tué hier matin. Leur corps ont été retrouvé dans l’après-midi devant l’exploitation familiale, au hameau de Quinzena, à Pietroso.

Après l’attentat d’Ajaccio et le double assassinat de Pietrosu, des enquêtes difficiles. Les suites des deux drames qui ont ensanglanté le dimanche de Pâques.

Deux hommes ont été tués par balles dimanche après-midi  près d’Aleria (Haute-Corse). L’un de ces deux hommes est l’ancien dirigeant nationaliste Jo Sisti, 59 ans. Jean Louis Chiodi, 51 ans, son beau-frère,  est  la seconde victime. (Presse)

Joseph Sisti dit « jo » et son beau frère, ont été tués par balles dimanche en fin d’après-midi au lieu-dit Maison Pieraggi, à Ghisonaccia, près d’Aleria (Haute-Corse), dans la plaine orientale.

Joseph Sisti dit « jo » et son beau frère, Jean Louis Chiodi,  ont été tués par balles dimanche en fin d’après-midi au lieu-dit Maison Pieraggi, à Ghisonaccia, près d’Aleria (Haute-Corse), dans la plaine orientale.

(Michaël Andreani – Alta Frequenza) – Après l’attentat à l’explosif qui a eu lieu ce matin (dimanche) à Ajaccio (Corse-du-Sud), blessant grièvement un homme âgé d’une soixantaine d’années, rue Maréchal Ornano (voir par ailleurs), le préfet de Corse a tenu à apporter des précisions.

Deux hommes ont été tués par balles dimanche après-midi au lieu-dit Maison Pieraggi, à Ghisonaccia, près d’Aleria (Haute-Corse). L’un de ces deux hommes est l’ancien dirigeant nationaliste Jo Sisti, âgé d’une soixantaine d’années. Jean Louis Chiodi, son beau-frère,  est  la seconde victime.

Double homicide à maison Pieraggi. Un double homicide a été commis cet après midi à maison Pieraggi, dans la région d’Aleria.

Depuis le 17 janvier 2012, l’Azawad est le théâtre de combats entre le MNLA et l’armée du Mali. C’est le MNLA qui a déclenché les hostilités ce 17 janvier donnant ainsi le coup d’envoi à sa lutte pour la libération de l’Azawad.