Mouvement National

FLNC « canal gamin ». C’est le surnom qui avait été donné par le mensuel Corsica aux hommes interpellés après les attentats de 2007 et de 2008.  Au départ une quinzaine d’attentats revendiqués par le FLNC-UC, parmi lesquels des actions particulièrement spectaculaires contre des symboles de l’État qui n’avaient – heureusement – causé aucun blessé.

Vingt nationalistes corses accusés de quinze attentats à l’explosif en 2007 et 2008 et baptisés par la presse locale « FLNC canal gamin » du fait de leur jeunesse comparaissent à partir de ce lundi devant les assises spéciales de Paris.

Partant du constat que la langue corse dans notre île connaît aujourd’hui une inquiétante érosion, particulièrement au sein des jeunes générations et que son enseignement dans le cadre de l’Education Nationale ne permet ni son épanouissement ni même sa sauvegarde ;

Le Front de libération nationale de la Corse (FLNC) a revendiqué samedi une trentaine d’attentats à l’explosif commis en mai sur l’île contre des résidences appartenant à des « continentaux » ou à des étrangers.

(Alex Bertocchini – Alta Frequenza) – C’est à partir d’aujourd’hui (lundi) devant la cour spéciale de Paris que comparaîtront douze nationalistes corses. 

Au lendemain de la déclaration d’Aiete du 17 octobre 2011, une opportunité s’est ouverte en faveur d’une résolution du conflit au Pays Basque. Trois jours plus tard ETA annonçait l’arrêt définitif de son activité armée.

(Alex Bertocchini – Alta Frequenza) – C’est la dernière ligne droite pour tous les candidats engagés dans la course de la législative – avant le premier tour s’entant – car pour les heureux élus du suffrage universelle il y aura un semaine de rab, comme on dit, à l’armée ou à la cantine.

Des membres présumés du FLNC devant la justice pour une dizaine d’attentats. 20 militants nationalistes, membres présumés du Flnc jugés à Paris à partir d’aujourd’hui devant la cour d’assises spéciale de paris .

20 militants présumés du FLNC devant la Justice. Aujourd’hui, une vingtaine de militants nationalistes, soupçonnés d’avoir participé à une dizaine d’attentats attribués à une cellule du FLNC – Union des combattants comparaissent devant la cour d’assises spéciale de Paris.

Le Front de libération nationale de la Corse (FLNC) a revendiqué la vingtaine d’attentats qui ont visé des résidences secondaires en Corse depuis la « nuit bleue » du 11 mai, dans un communiqué authentifié et remis au magazine d’information Corsica.