In Mimoria

Yvan Colonna a été « baluchonné », vendredi matin, ce qui veut dire, en argot carcéral, transféré brutalement sans prévenir, de la centrale d’Arles, où il était incarcéré, au centre pénitentiaire de Réau.

Yvan Colonna a été transféré vendredi de la centrale d’Arles (Bouches-du-Rhône) à celle de Réau (Seine-et-Marne) au prétexte qu’il préparait une évasion a souligné son avocat.

Selon corsematin.com : Condamné à la perpétuité pour l’assassinat du préfet Erignac, Yvan Colonna vient d’être transféré de la centrale d’Arles (Bouches-du-Rhône) à celle de Réau (Seine-et-Marne), au motif qu’il préparait une tentative d’évasion.

L’Assemblée de Corse travaille sur des sujets capitaux: langue, fiscalité, résidence et nouvelles institutions. Jusqu’à présent, l’Etat refuse le dialogue.

Chers amis , Je vous prie de trouver ci-dessous, à titre d’information, une réponse que j’ai faite à une lettre du Préfet Strozda, qu’il m’a envoyée juste avant son départ pour sa nouvelle affectation. J’estime que le temps des demi-vérités ou de l’impunité des mensonges, fussent-ils par omission, est révolue. Mais l’Etat mène délibérément et en particulier sur le terrain …

Le 20 février 2013, à la salle des Congrès d’Ajaccio, une très importante assistance avait répondu à l’invitation de Albert Saladini, journaliste et grand reporter de France Télévisions ; en effet, celui-ci présentait un film sur Scandola, cette merveilleuse zone protégée de 80 hectares, sur la côte occidentale de la Corse et proche de Girolata ;

L’avocat Gilles Simeoni, dirigeant de la formation Femu a Corsica (Faisons la Corse), qui compte onze élus sur 51 à l’Assemblée territoriale, arrive en tête de ce classement semestriel réalisé par l’institut Opinion of Corsica, partenaire d’Opinion Way, avec 34% d’opinions favorables.

Voici la lettre que le Dr Edmond Simeoni, militant de la cause corse de la première heure, a écrit au Préfet de Corse, Patrick Strzoda. 

A l’occasion de la sortie de son nouveau livre, « Corse : entre néo-clanisme et mafia », nous avons interrogé le leader nationaliste sur l’histoire et le développement actuel du banditisme insulaire. Selon lui, la Corse pourrait devenir, d’ici quelques années, « une terre mafieuse ».

C’est Edmond Simeoni qui l’affirme : « La situation politique en Corse se dégrade inexorablement parce que l’Etat nie l’existence de la « question corse ». Dans le texte qu’il nous a fait parvenir le docteur Simeoni poursuit en ces termes;