I Verdi Corsi

Le 3 juillet 1999, à Migliacciaru (Haute-Corse), treize organisations nationalistes s’engagent «à bannir tout rapport de forces violent entre nationalistes et ce en toutes circonstances». 

D’Aleria en 75, en passant par Bastelica Fesch en 80, son incarcération en 1998 dans la piste agricole à la création d’Unità en 1999, Marcel Lorenzoni était un acteur incontournable de la Lutte de libération Nationale. Marcel Lorenzoni, ancien parachutiste mais pas que, avait été membre de plusieurs mouvements nationalistes, dont l’ARC, l’Union du Peuple Corse (UPC) et la Cuncolta. Homme …

(Unità Naziunale – Publié mercredi 16 mars 2022)  Tristu ghjornu pà a Corsica ! La Corse pleure aujourd’hui l’un de ses militants les plus fidèle : Norbert Laredo est décédé mardi soir.

Après les interventions de Jean Guy Talamoni et Paul Leonetti en introduction de ce meeting, celles de Jean Charles Orsucci, Maire de Bunifaziu, élu de la majorité Territoriale, de Jean Christophe Angelini, du PNC (Président du groupe Femu a Corsica à l’Assemblée de Corse et élu au Conseil Général de Corse du Sud) et de Jean Baptiste Luccioni,  Président du groupe …

(Michaël Andreani – Alta Frequenza) – Le moment fatidique approche pour le Plan d’aménagement et de Développement Durable de la Corse, le fameux Padduc. En effet, l’Assemblée de Corse va examiner ce jeudi en session sur ce lourd dossier composé de huit livrets et de neuf annexes thématiques accompagnés de différentes cartes, porté à bout de bras depuis près de trois …

Plus lisible aujourd’hui, le nationalisme corse se limite-t-il désormais aux deux tendances autonomiste et indépendantiste? En marge de la scène politico-médiatique, rencontre avec ceux qui ont fait un autre choix.

Depuis 1988, les militant(e)s écologistes soussigné(e)s, issu(e)s du mouvement politique « I Verdi Corsi » sont mobilisé(e)s pour une Europe des peuples de type fédéraliste et inscrivent  leur démarche  :

Le 10 juillet 2004 (unita-naziunale.org) Des milliers de personnes ont défilé samedi 10 juillet en fin d’après-midi dans les rues d’Ajaccio à l’appel de la quasi-totalité des organisations nationalistes pour réclamer « une solution politique » au problème corse.