Angelini Jean Christophe

L’introduction de l’écureuil à Portivechju demande une étude particulièrement minutieuse du milieu environnant, de ses codes, ainsi que de son histoire…

D’ordinaire, on vous parle d’Objets Volants Non Identifiés, qui traversent le ciel, que les témoins disent être brillants, qui font un petit tour puis disparaissent, sans que l’on puisse en saisir l’utilité… voire même la réalité. 

(Maria Lanfranchi – Alta Frequenza) – Municipales de mars 2014 : elles font l’objet de nombreuses présentations de listes et de projets à travers toute l’île.

« C’est la formule qui m’est venue à l’esprit lorsque j’ai examiné l’évolution des recettes et dépenses qui se rapportent au fonctionnement quotidien de la commune, depuis 2008 jusqu’à 2012, soit sur cinq années pleines. 

Telle est la question qui m’est venue à l’esprit en examinant les données INSEE relatives aux résidences principales et secondaires de Portivechju, sur la décennie précédente. 

En des temps anciens, les autorités, sous couvert de motifs religieux, donnaient la chasse aux « sorcières et sorciers », entendez à ceux qui troublaient l’ordre établi. Un procès permettait de donner une apparence légale à une situation dont chacun connaissait l’issue. Eh bien un millénaire plus tard, ce même type de phénomène se déroule à PORTIVECHJU ! 

En mai dernier, le conseil municipal votait, à l’unanimité, la création d’aménagements adaptés aux personnes à mobilité réduite pour faciliter l’accessibilité de deux plages ; celle de Casa di Lume dans la baie de Palombaghja et celle de Moby Dick dans le golfe de Santa Ghjulia. 

(Alex Bertocchini – Alta Frequenza) – Au programme les discussions autour de l’évolution institutionnelle de l’île. Pour Jean-Christophe Angelini, cette première rencontre est globalement positive. Même si le chemin est encore long, le dialogue semble ouvert. 

Voici la lettre de Jean Christophe Angelini :

« C’est à dessein que j’emprunte ce titre à l’intitulé de l’excellent ouvrage de Nadine LEVRATTO paru aux éditions ALBIANA en 2001, qui décrivait la réalité économique de l’île. Je vous engage d’ailleurs à le lire.