Tibet

Dans la perspective d’attirer des investissements Chinois, la France, pays « ami » autoproclamé des Droits de l’Homme, s’est autocensurée au sujet du Tibet et des droits de l’homme… 

Selon des sources locales, pour assister à une importante rencontre religieuse dans la province voisine du Sichuan, les Tibétains de la province du Gansu sont arrêtés à la frontière. Il leur est dit qu’ils ne peuvent pas y aller en voiture.

« La police nous piège et nous accuse des pires crimes. Au cours des procès, ils utilisent la persuasion ou même la force pour nous faire avouer des actes que nous n’avons jamais commis.

Sonam Tso, s’est immolée par le feu, le 23 mars 2016, dans le Comté de Dzoege – [Tibet-info.net]

Les autorités de la province du Sichuan ont libéré une personnalité religieuse tibétaine emprisonnée depuis 2008 pour avoir résisté à des campagnes de rééducation politique dans son monastère.

Bien que le nombre total de prisonniers politiques au Tibet ne puisse être estimé de façon précise, les informations disponibles montrent qu’au moins 2 081 Tibétains sont toujours en prison, y compris 967 moine et nonnes, a déclaré le Centre Tibétain pour les Droits de l’Homme et la Démocratie (TCHRD), basé à Dharamsala, Inde, dans son rapport annuel 2015 publié …

L’arrêté de 2 pages publié le 4 janvier 2016 impose, sous peine de poursuites, la cession obligatoire et volontaire aux autorités de toutes les photos du Dalaï Lama, à la vente ou en stock.

Depuis 2008, le gouvernement chinois a imposé une série de mesures répressives afin de restreindre le flux des Tibétains allant à l’étranger et de ceux qui envisagent de se rendre au Tibet. Le nombre de Tibétains allant à l’étranger à partir d’autres régions que la « Région Autonome du Tibet » a régulièrement augmenté depuis 2013.

Dolma Kyab, écrivain et professeur, qui a purgé une peine de 10 ans et 6 mois de prison dans la prison de Chushul [1], près de Lhassa pour « atteinte à la sécurité nationale« , a été libéré jeudi 8 octobre 2015.

Les autorités de la province du Sichuan ont arrêté au moins une douzaine de Tibétains [1] après qu’ils aient réoccupé leurs terres, confisquées cinq ans plus tôt pour un projet gouvernemental de développement.