L’Environnement

C’est le seul chantier de ce type en France, et pour cause, l’ancienne usine d’amiante de Canari, en Haute-Corse, est resté le seul site d’extraction de ce minéral dans l’Hexagone.

(Maria Lanfranchi – Alta Frequenza) – Dans le cadre de son agenda 21, la CAPA a signé récemment un contrat de partenariat allant dans le sens d’un développement durable accru et ouvert.

Le ministère de l’Écologie a annulé une décision de la Dreal (Direction régionale de l’environnement, de l’aménagement et du logement) de Corse. Celle-ci avait déclassé une zone protégée, rendant ainsi possibles les projets d’urbanisation du littoral de la commune de Piana. L’action de U Levante a payé : la Znieff de Piana Arone ne sera pas réduite.

C’est le seul chantier de ce type en France, et pour cause, l’ancienne usine d’amiante de Canari, en Haute-Corse, était le seul site d’extraction de ce minéral dans l’Hexagone. Le chantier de réhabilitation de ce site devrait se terminer dans quelques mois.

Le 26 avril 1986, éclatait, dans la centrale Lénine située en Ukraine, l’accident nucléaire civil, de niveau 7, le plus grave de tous les temps. La catastrophe de Tchernobyl, qui a contaminé l’Ukraine, la Russie, le Bélarus et une bonne partie de l’Europe, aurait fait au moins 100 000 morts.

(Maria Lanfranchi – Alta Frequenza) – Assemblée de Corse , les conseillers territoriaux et exécutifs se sont retrouvés hier matin (jeudi) pour une séance de questions orales. D’entrée Josepha Giacometti s’est adressée à Maria Giudicelli.

Michèle Rivasi, la députée européenne EELV de la Drôme, est en Ukraine en ce jour-anniversaire de la catastrophe nucléaire de Tchernobyl. 27 ans après, l’Union européenne va financer le suivi médical des habitants de la région de Tchernobyl.

Assemblea di Corsica,u 26 d’aprile di 2013 : motion déposée par le Groupe Femu a Corsica : Non au déclassement des protections dans les sites remarquables ou les terres à vocation agricole.

Les incendies ravagent chaque année la région méditerranéenne et plus particulièrement notre île. Les étés 2003, 2004 et 2005 sont encore dans toutes les mémoires avec leur cortège de drames : drames humains, nombreuses maisons menacées voire endommagées ou détruites, massifs forestiers et espaces naturels sinistrés…

Puis, il y a deux ans, vingt-cinq  ans après Tchernobyl, l’inimaginable s’est reproduit à Fukushima. Le mythe du « nucléaire sûr » a définitivement perdu toute crédibilité.