L’Environnement

Le maire de Bastia, Gilles Simeoni, indique avoir alerté la ministre de l’Ecologie Ségolène Royal sur les risques liés au passage devant les côtes corses de l’épave du Costa Concordia, alors que « ni les Corses ni leurs élus n’ont été consultés ou simplement informés des risques éventuels ».

Lors de la dernière séance du conseil municipal, les élus ont voté à l’unanimité l’acquisition de deux secteurs, Santa Giulia et le Stabacciu, par le conservatoire du littoral. 

« À l’occasion de la prochaine session des 17 et 18 juillet prochains, les Conseillers territoriaux débattront de la création d’un office public foncier de Corse.

En revenant sur l’épisode houleux du dernier conseil municipal, l’adjointe au maire en charge du nautisme évoque la situation du port Charles-Ornano qui souffre, selon elle, d’un manque de rentabilité

Depuis une décennie, notre groupe se mobilise contre les projets pharaoniques de l’exécutif, concernant notamment l’extension du port de plaisance et de pêche. 

La campagne municipale est terminée. La nouvelle équipe en place reprend le cours des dossiers et notamment celui de l’extension du port de pêche et de plaisance, qui a déjà fait couler beaucoup d’encre. Ce sera un des principaux points aujourd’hui à l’ordre du jour du conseil municipal, qui se déroulera à 16h en mairie.

Le nouveau centre d’enfouissement des déchets prévu à Stencia (Corse-du-Sud) suscite l’inquiétude des habitants et des exploitants agricoles. Lors d’une réunion publique houleuse, le porteur du projet a tenté d’en défendre la nécessité. Mais les riverains espèrent bien empêcher son installation.

Nouvel épisode dans le long feuilleton de l’extension du port de plaisance (dossier complet). Résumé de la dernière saison. Trois candidats ont soumissionné à l’appel d’offre pour attribuer la délégation de service public pour construire et gérer le futur port.

Réunion houleuse lundi à Bonifacio lors de la présentation du projet de stockage des déchets exploités en mode Bioréacteur au lieu dit Stencia. Situé au nord de Bonifacio et limitrophe de Sotta, ce projet prévoit de traiter 45 000 tonnes de déchets par an sur une surface totale de 21 hectares. 

Dans l’extrême-Sud, des associations de résidents-riverains voulaient « privatiser la mer ».