2015-Territoriales

(Alta Frequenza) La victoire, sans contestation aucune, des nationalistes dans l’élection territoriale de ce dimanche a été qualifiée par tous, en tout cas dans l’île, de moment Historique dans l’histoire très souvent conflictuelle entre la Corse et l’Etat central.

(Alta Frequenza) Il y a un homme pour qui cette victoire avait un relief, un goût particulier, plus encore que pour tous les autres. Cet homme, c’est Edmond Simeoni, partie prenante et le plus souvent centrale du nationalisme corse depuis 1975 et les évènements d’Aleria.

(FRANCE 3 CORSE) La victoire des nationalistes aux élections territoriales en Corse est le fruit du pragmatisme, d’une puissante dynamique militante, ainsi que du consensus sur le renoncement à la violence, ont souligné lundi des analystes.

(CORSE NET INFOS) Ils ont gagné ! C’est une victoire historique ! Une déferlante ! Une autre citadelle qui tombe, certainement la plus belle et la plus désirée !

Les électeurs ont rendu leur verdict , et il est sans appel : dimanche ils ont massivement décidé de confier les clés de la Collectivité territoriale de Corse pour les deux prochaines années à la liste nationaliste conduite par Gilles Siméoni.

(CORSE MATIN) La campagne de terrain de l’entre-deux tours, préférée aux meetings, n’aura pas suffi. Le patron de l’exécutif laisse sa place. Hier soir, les électeurs ont refusé de s’inscrire dans la continuité d’une gouvernance. Et d’un homme

(CORSE MATIN) Le Front National, emmené par le Bastiais Christophe Canioni, totalise 9 % des suffrages.

(CORSE MATIN) Jean-Guy Talamoni :  » Les électeurs ont dit clairement que la Corse n’était pas une circonscription administrative française, mais une nation. Ils en ont confié la responsabilité aux nationalistes, par un résultat sans appel. »

(CORSE MATIN) Dimanche, peu après l’annonce officielle des résultats, Jean-Guy Talamoni et Gilles Simeoni se félicitent mutuellement du résultat obtenu par leur liste. Tous deux déclareront vouloir désormais oeuvrer « en faveur de tous les Corses, sans exclusive ni a priori ».

(CORSE MATIN) Parti de sa permanence en compagnie de ses militants, le leader de Corsica Libera, Jean-Guy Talamoni a guidé un cortège de 200 personnes jusqu’au bureau centralisateur.