2012

Concernant le second tour des élections présidentielles, A Manca appelle à voter et fera voter pour le candidat François Hollande. Il ne s’agit en aucune façon de donner un chèque en blanc à un programme dont nous connaissons les limites, y compris sur le thème de la Corse, mais bien de faire barrage aux équipes de Nicolas Sarkozy.

Les médias et les commentateurs ont noté la percée de Marine Le Pen en Corse. Celle-ci est incontestable et témoigne, en Corse comme dans l’ensemble de la France, du désarroi d’une partie considérable de nos concitoyens.

Presque toutes les grandes collectivités sont tombées dans l’escarcelle de la gauche, mais l’île reste ancrée à droite. Paradoxe corse oblige, l’électorat semble s’adapter aux situations et aux scrutins.

Un nationaliste corse pour un nationaliste français? L’équation n’est pas si simple, même si bon nombre de militants et de sympathisants ont pu porter leur choix sur la candidate de l’extrême droite.

Les raisons sont multiples et variées même si l’ampleur du vote de l’extrême droite reste surprenante Une analyse brute des résultats laisse supposer qu’une partie de l’électorat nationaliste a voté FN.

Première polémique de campagne. A l’occasion du 1er mai, la Fête du Travail, Nicolas Sarkozy veut organiser un grand rassemblement au Champs de Mars à Paris. Un projet aussitôt dénoncé par François Hollande depuis la Bretagne. Les syndicats sont également critiques, pour eux, le 1er mai est une fête pour les travailleurs. Et c’est aussi le 1er mai, que le Front …

Nicolas Sarkozy a fait mieux que limiter la casse : 6 000 voix perdues sur 2007 mais une première place assurée Comment le candidat peut-il maintenant réussir le grand écart entre les électeurs de Le Pen et de Bayrou ?

Hollande et Sarkozy veulent séduire les électeurs du FN. Avec 28.63% des voix pour le socialiste François Hollande et 27.18% pour Nicolas Sarkozy, les 2 candidats finalistes sont très intéressés par les électeurs qui ont voté pour Marine Le Pen et le Front National avec ses 17.9% de voix.

Presque toutes les grandes collectivités sont tombées dans l’escarcelle de la gauche, mais l’île reste ancrée à droite. Paradoxe corse oblige, l’électorat semble s’adapter aux situations et aux scrutins.

Le 1er tour de la présidentielle témoigne d’une forte poussée du Front national. La droite traditionnelle, elle, tout en perdant des voix, demeure majoritaire. Dans une ville pourtant à gauche depuis 11 ans…