Elections

L’adoption par la majorité – sans surprise – du compte administratif et surtout le vote – partagé – par l’ensemble des groupes présents au conseil  municipal du budget total nous interpelle.

Le président de l’UMP était à Biguglia pour donner le coup d’envoi de la campagne des municipales. Une droite qui se dit « combative face à la politique désastreuse de François Hollande. »

Référendum d’Alsace. Suivi par de nombreux observateurs politiques. Le peuple voulait-il l’unification du Bas-Rhin (Chef-lieu Strasbourg) et du Haut-Rhin (Chef-lieu Colmar) ? Le tout formerait une seule et unique collectivité territoriale. Il y avait un consensus général pour le Oui.

En Haute Corse,  la liste conduite par Jean Marc Venturi, président sortant, avec Joseph Colombani, président de la FDSEA, avait été réélue  en février dernier.

Le projet de loi sur les scrutins locaux définitivement adopté par l’Assemblée mercredi, ne consiste pas en un simple ajustement cosmétique du mode d’élection des conseillers généraux, et dans une moindre mesure des conseillers municipaux et communautaires.

(A.Bertocchini & M.Andreani – Alta Frequenza) – Il faut que les nationalistes s’assument et notamment à propos du choix droite / gauche qu’il faut la plupart du temps opérer lors les scrutins électoraux!

(corsematin.com)Révélations ou secret de polichinelle, le conseiller général qui était dimanche dernier l’invité de l’émission Cunstrastu a confirmé ses ambitions politiques et en tant que militant nationaliste a réitéré ses projets pour l’île.

Jean Zuccarelli, selon nos informations, devrait se porter candidat à la succession de son père pour les municipales de 2014. Au sein de la gauche bastiaise, François Tati, lui, a déjà annoncé qu’il sera candidat.

(Julien Pernici – Alta Frequenza) – Mercredi dernier, Inseme per Bastia avait délivré une critique acerbe de la situation d’insécurité dans la ville, Gilles Simeoni s’en prenant à l’inefficacité de la municipalité et annonçant le boycott du conseil municipal suivant.

Le ton monte, c’est le moins que l’on puisse écrire, entre Emile Zuccarelli, le maire de Bastia et ses principaux opposants d’Inseme per Bastia. On sait que le groupe de Gilles Simeoni a décidé de boycotter la séance de l’assemblée communale au prétexte que la municipalité n’a pas inscrit à l’ordre du jour le problème de l’insécurité à Bastia.