A dritta, A Manca

(Michaël Andreani – Alta Frequenza) – Coup de théâtre au conseil départemental de Corse-du-Sud : Jean-Jacques Panunzi et Marcel Francisci n’ayant pu être départagés après deux tours de scrutin et 11 voix chacun, un troisième a donc eu lieu.

(Michaël Andreani – Alta Frequenza) – Au premier tour de l’élection du président du conseil départemental de Corse-du-Sud, les deux candidats Jean-Jacques Panunzi et Marcel Francisci sont à égalité.

(Michaël Andreani – Alta Frequenza) – C’est aujourd’hui (jeudi) dès 10 heures qu’aura lieu l’installation des deux nouveaux conseils départementaux de Corse avec, au premier plan, l’élection du nouveau président pour chacune de ces institutions.

EELV Corse – AEIV tient à réagir à l’observation de la situation Bastiaise. Nous considérons que cette situation ne procède ni du hasard, ni de la surprise.

(article du 2 avril) Les demandes de rapprochement et d’amnistie ont toujours été portée par le mouvement clandestin, puis par les différents mouvements publics dans des périodes où le mouvement clandestin était toujours en action.

(Alex Bertocchini – Alta Frequenza) – La Société Publique Locale « Ametarra », portée sur les fonds baptismaux il y a quelques jours, avalisée par un vote unanime à la CAPA et un peu moins unanime à la Ville d’Ajaccio, est désormais sur les rails.

(Julien Pernici – Alta Frequenza) – Nouveau communiqué ce matin émanant de quatre des cinq maires de la Communauté d’Agglomération de Bastia à l’exception notable et intéressante de Michel Simonpietri, maire de Furiani et proche de Paul Giacobbi.

(Julien Pernici – Alta Frequenza) – La démission, c’est maintenant. Voilà en sorte le crédo exposé par l’opposition municipale de Bastia suite aux évènements de ces derniers jours.

(FRANCE 3 CORSE) Dans un communiqué commun les maires de 4 des 5 communes – tous sauf Furiani – de la Communauté d’Agglomération de Bastia (CAB) demandent à François Tatti de démissionner de son poste de président précisant qu’il « a perdu la confiance de cette majorité ».  

(FRANCE 3 CORSE) Communistes et radicaux dénoncent « un blocage » après l’éclatement de la majorité de Gilles Simeoni qu’ils ont toujours qualifiée de « contre nature ».