A dritta, A Manca

(CORSE MATIN) Après trois tours de scrutin, c’est finalement Pierre-Jean Luciani qui a été élu président du Conseil départemental de Corse-du-Sud.

(CORSE MATIN) Après trois tours de scrutin, c’est finalement Pierre-Jean Luciani qui a été élu président du Conseil général de Corse-du-Sud.

(Julien Pernici – Alta Frequenza) – Une discussion à bâtons rompus pendant une heure avec la presse locale, voici de quelle manière Gilles Simeoni est sorti du silence après son communiqué de lundi où, en compagnie de Jean-Louis Milani et Emmanuelle de Gentili, il avait choisi de couper les ponts avec François Tatti.

(Alex Bertocchini – Alta Frequenza) – Puisque nous sommes apparemment entrés dans une phase de chjam’è rispondi effrénée, et que cela va certainement durer plusieurs jours, nous vous livrons à présent la réaction de François Tatti après le courrier que lui ont adressé Gilles Simeoni et « ses nouveaux alliés politiques ».

(Michaël Andreani – Alta Frequenza) – Sans surprise, le président sortant François Orlandi vient d’être réélu dès le premier tour à la tête du conseil départemental de la Haute-Corse. Celui-ci a recueilli 18 voix, contre 6 pour le candidat libéral Jean Dominici et 3 voix pour la candidate Inseme Vannina Le Bomin, et 3 bulletins blancs.

(Michaël Andreani – Alta Frequenza) – Coup de théâtre au conseil départemental de Corse-du-Sud : Jean-Jacques Panunzi et Marcel Francisci n’ayant pu être départagés après deux tours de scrutin et 11 voix chacun, un troisième a donc eu lieu.

(Michaël Andreani – Alta Frequenza) – Au premier tour de l’élection du président du conseil départemental de Corse-du-Sud, les deux candidats Jean-Jacques Panunzi et Marcel Francisci sont à égalité.

(Michaël Andreani – Alta Frequenza) – C’est aujourd’hui (jeudi) dès 10 heures qu’aura lieu l’installation des deux nouveaux conseils départementaux de Corse avec, au premier plan, l’élection du nouveau président pour chacune de ces institutions.

EELV Corse – AEIV tient à réagir à l’observation de la situation Bastiaise. Nous considérons que cette situation ne procède ni du hasard, ni de la surprise.

(article du 2 avril) Les demandes de rapprochement et d’amnistie ont toujours été portée par le mouvement clandestin, puis par les différents mouvements publics dans des périodes où le mouvement clandestin était toujours en action.