A dritta, A Manca

(Corse Matin) Il fut un temps où le ciel de la Balagne brillait beaucoup plus fort, jusqu’à éblouir le paysage politique insulaire.

(FRANCE 3 CORSE) Les deux candidats José Rossi et Camille de Rocca Serra ont obtenu le même nombre de voix. La Commission Nationale d’Investiture procédera à un nouveau vote lors de sa prochaine réunion.

(Alex Bertocchini – Alta Frequenza) – 9 à 9 ou 11 à 11!  C’est du pareil au même! C’est le sentiment qui se dégage de la réunion, des réunions, qui se sont succédé aujourd’hui (jeudi) à Paris au siège de l’UMP.

(Julien Pernici – Alta Frequenza) – C’est ce qui s’appelle faire durer le plaisir ou faire perdurer le supplice, tout dépend de la perspective que l’on peut avoir sur la situation au sein de l’UMP en Corse, puisque les instances nationales ne sont pas arrivées à désigner une tête de liste en Corse lors de la commission d’investiture de ce jeudi. 

(Michaël Andreani – Alta Frequenza) – C’est ce matin (jeudi) que la commission nationale d’investiture de l’UMP va désigner celui qui portera la principale liste de droite aux élections territoriales des 6 et 13 décembre prochains en Corse.

(Alex Bertocchini – Alta Frequenza) – Comme une hirondelle ne fait pas le printemps, une éclaircie non plus ne fera pas le beau temps dans le ciel tumultueux de la SNCM. Certes, un courrier de la Commission européenne annonce un grand fracas, la levée des sanctions à l’encontre de la compagnie maritime.

(Alcudina) ENTRETIEN avec Jean-Charles Orsucci dans la perspective des prochaines élections territoriales. Le maire de Bonifacio fait le point sur l’initiative d’une démarche gauche-autonomiste qu’il mène avec Emmanuelle de Gentili et Jean-Louis Luciani. Eclairage.

(Corse Matin) Jadis patricien de la classe politique insulaire, le PRG a tour à tour perdu ses figures de proue, son affluence et les élections. Les explications à ce déclin sont nombreuses et variées. Etat des lieux et analyse critique

(Alex Bertocchini – Alta Frequenza) – La reprise, quelle reprise ? C’est l’interrogation du monde syndical après le 1er mai et la mobilisation plus que moyenne enregistrée en Corse comme ailleurs.

Les pressions et les menaces subies par Séverin Medori, maire de Linguizetta, sont inadmissibles : elles doivent être dénoncées par toutes celles et tous ceux qui se montrent sincèrement préoccupés par les dérives qui affectent la Corse depuis quelques années, et dont la côte orientale reste un terrain particulièrement exposé.