A dritta, A Manca

Pour le député de la 1re circonscription de la Corse-du-Sud tout vient à point qui sait attendre L’heure n’est pas au projet de mandature, mais au bilan. Serein, il détaille son activité parlementaire.

Fidèle à ses habitudes, Paul Giacobbi a annoncé son intention de briguer, avec son suppléant Joseph Castelli, président du conseil général de la Haute-Corse, un troisième mandat de député de la 2e circonscription depuis sa maison de Venaco.

Conduit pas les responsables UMP départementaux, Marcel Francisci et Stéphanie Grimaldi, ainsi que les deux députés Sauveur Gandolfi-Scheit et Camille de Rocca Serra, le comité de soutien au candidat président anime, depuis plus d’un mois, dans l’île, la campagne présidentielle, notamment par la création d’un site internet.

Dans la deuxième circonscription de Haute-Corse, celle de Corte-Balagne, Paul Giacobbi se lance à son tour dans la bataille... Il portera les couleurs PRG/PS…

Le 27 mars 2011, vous m’avez désigné afin de vous représenter au sein du Conseil général de la Corse du Sud. Depuis un an, je mesure chaque jour à quel point vos attentes sont légitimes et j’essaye de me montrer digne de la confiance que vous m’avez témoigné.

Lors du conseil municipal du 26 mars, la séance était (une fois de plus) assez lourde. Cette technique qui consiste a empiler les délibérations avec frénésie étant bien connue des membres de l’opposition, je me suis pour ma part attelé à l’essentiel et donc au budget de la ville. 

Après la décision rendue par la chambre sociale de la cour d’appel de Bastia mercredi, qui a tranché sur le sort des 45 jeunes CDD d’Air France, la CGT a réuni les personnels de la compagnie hier.

C’est le site corsematin.com qui l’annonce :  Le président du conseil exécutif de Corse, Paul Giacobbi (PRG), officialise, sans surprise, sa candidature à l’élection législative dans la 2e circonscription de Haute-Corse ce vendredi, 11 heures, à son domicile de Venaco.

A l’inverse de ce que prétend le président et les autorités judiciaires françaises, Mohammed Merah n’était pas un loup solitaire étranger au réseau islamiste mais bien au contraire il est évident qu’il n’a pas agi seul, qu’il a été soutenu et que ses crimes ignobles pourraient bien être suivis par d’autres.

Dans le conflit qui oppose depuis 5 mois, 45 salariés d’air France à leur direction, c’est l’entreprise qui l’emporte au finish. Les 45 contractuels, qui réclamaient leur titularisation devant la cour d’appel, ne seront finalement pas intégrés. Ils percevront une indemnité d’une moyenne de 10.000 Euros chacun.