A dritta, A Manca

(Maria Lanfranchi – Alta Frequenza) – La décision rendue par le Conseil Constitutionnel annulant la reconduction des arrêtés Miot à compter du 1er janvier 2013 est « incompréhensible », selon le Président du Conseil Général de la Corse-du-Sud.

En décidant de censurer les arrêtés Miot, les juges du conseil constitutionnel viennent de rendre une décision couperet. Et certainement une décision politique. En tout cas, les motifs d’annulation paraissent éloignés des intérêts de notre île. Conséquence : la Corse se retrouve aujourd’hui au pied du mur et chez nous l’incompréhension se mêle au désarroi.

Michel Stefani répond à Jean-Jacques Panunzi à propos de la polémique sur la motion contre la violence et justifie les prises de position de son groupe à l’assemblée de Corse.  

L’objectif avoué de France trait d’union Corse est d’empêcher le consensus réformiste dont voudraient pouvoir se prévaloir, à Paris, les partisans d’une évolution institutionnelle et constitutionnelle.

Le président du Conseil général de la Corse du Sud ne « décolère pas » sa motion, qui est vraisemblablement celle du mouvement France Corse, a été votée par la majorité territoriale de gauche quand son groupe quittait l’hémicycle.

En cette nouvelle année je présente à l’ensemble de mes concitoyens, mes meilleurs vœux de santé, de paix et de prospérité. L’année qui vient de s’écouler a une fois encore été particulièrement dense, notamment marquée par les élections législatives, lors desquelles mes concitoyens m’ont fait l’honneur de me témoigner à nouveau leur confiance.

Une dynamique pour défendre une politique des îles en Europe. Depuis la présentation de la stratégie européenne fin 2010 nous avons oeuvré pour concrétiser cet accord qui initie un nouveau processus entre la Corse et la Sardaigne.

J’étais hier soir l’invité de l’émission « foot e basta » sur F3 via stella. L’occasion de rappeler ma solidarité au sporting qui fait l’objet d’un acharnement sans précédent de la part des instances du football national. Or, Le SCB n’est pas un club comme les autres pour au moins trois raisons :

L’Assemblée de Corse doit adopter une délibération finalisant un vote antérieur obtenu le 27 mai 2010 sur une motion de Corsica Libera amendée par le Front de gauche afin « que soient mis en œuvre les moyens juridiques nécessaires pour définir un cadre statutaire à la langue corse fondé sur le principe de co-officialité ».

La conseillère territoriale a été choisie par Harlem Désir pour rejoindre l’équipe du secrétariat national. Une mission confiée pour la première fois à un élu insulaire qui souhaite promouvoir l’expérience corse.