A dritta, A Manca

Nò, ùn hè mancu una magagna. L’hà detta in L’Express. Ùn avemu ancu finitu di cummentà a pusizione di Paul Giacobbi nant’à a speculazione immubiliara in un’intervista ch’ellu hà datu à Corse-Matin. 

On peut n’avoir rien à dire en politique et avoir les honneurs de Barbier sur la fameuse question corse. Il suffit d’être le neveu de Marcel Francisci « le vrai » comme dirait Mourinho, ami de Marcellin et pilier du gaullisme musclé.

Ainsi, deux jours à peine après avoir été mis en demeure par Jean Guy TALAMONI de faire connaitre sa position sur le statut de résident, Paul GIACOBBI s’est exécuté.

Conseiller exécutif en charge de la langue et de la culture corses, qui a fait adopter, à l’unanimité des votants, le 17 mai dernier, le statut de coofficialité à l’Assemblée de Corse (CTC), Pierre Ghionga avait déjà participé au 1er débat organisé par Corsica Libera, lors des Ghjurnate d’août 2012.

Afin de lutter contre la spéculation foncière qui, on le sait en Corse, peut être liée à des pratiques mafieuses, le président du Conseil exécutif de Corse propose que la vente des terrains à des non-résidents soit juridiquement encadrée.

(Michaël Andreani – Alta Frequenza) – Des échanges constructifs, avec une volonté manifeste de chacun, malgré certaines divergences, de dégager une majorité forte à l’assemblée de Corse, afin de négocier ensuite avec les plus hautes instances politiques nationales sur les questions fondamentales pour l’avenir de l’île. Maria Giudicelli a pu ainsi faire connaître la teneur du projet Padduc, et donner sa …

(Michaël Andreani – Alta Frequenza) –  À la tribune, Jean-Baptiste Luccioni, pour Corse Social Démocrate, a été l’un des premiers, après Corsica Libera, à se prononcer en faveur d’un statut de résident. 

[4 Aout] Débat Anti-Répressif, Histoire de Pasquale Paoli, Débat Institutionnel, Meeting de fin de journée (voir les vidéos photos, revue de presse et liens en bas d’articles)

Nicolas SARKOZY dans une de ces déclarations martiales et péremptoires qu’il affectionne avait proclamé il y a quelques années que ” les nationalistes n’étaient plus en Corse au centre du du jeu politique”: sur ce plan comme sur beaucoup d’autres il s’est lourdement trompé, et ils en ont fait hier la démonstration à Corti.

Invitée par Corsica Libera aux Ghjurnate Internaziunale di Corti, l’Elue du Front de Gauche à l’Assemblée de Corse, a en charge le dossier du PADDUC, elle écrit aux militants de son mouvement :