A dritta, A Manca

(Michaël Andreani – Alta Frequenza) – La publication des nouveaux découpages cantonaux sur lesquels les conseils généraux de Haute Corse et de Corse du Sud auront à se prononcer dans un délai de 6 semaines, a suscité dans certains cas des réactions voire des oppositions de la part des élus et de la population.

(Alex Bertocchini – Alta Frequenza) – Si rien ne bouge en apparence on ne peut pas dire que l’on reste inactif dans toutes les sphères intéressées peu ou prou à cette problématique. Paul Marie Bartoli, dans une lettre recommandée datée de ce matin interpelle directement Marc Dufour et Marc Reverchon, respectivement plus haut responsables des deux compagnies incriminées.

La CGT des marins de la SNCM, qui a reconduit sa grève pour le 8 et le 9 janvier, a réaffirmé sa détermination mardi 7 janvier en rappelant sa position sur les conditions d’emploi des marins sur les lignes françaises.

(Alex Bertocchini – Alta Frequenza) – Nouvelle journée de grève aujourd’hui (mardi) à la SNCM et à la CMN, ce qui ne veut pas dire que les ports corses restent inactifs.

Le député de la 1ère circonscription de Corse-du-Sud, Laurent Marcangeli, a présenté mardi 7 janvier sa vision de l’aménagement d’Ajaccio. Pour la droite, la Communauté d’agglomération du pays ajaccien (CAPA), créée et présidée par le maire sortant Simon Renucci, pêche par manque d’efficacité.

« Espérons qu’avant la fin de l’année 2014 la France pourra au minimum – car ce serait vraiment la moindre des choses – ratifier la Charte européenne des langues régionales ou minoritaires adoptée le 5 novembre 1992.

(Alex Bertocchini – Alta Frequenza) – Troisième conférence de presse ce matin (mardi), et en guise de rentrée de Laurent Marcangeli.

La publication des nouveaux découpages cantonaux sur lesquels les conseils généraux de Haute Corse et de Corse du Sud auront à se prononcer dans un délai de 6 semaines, a suscité dans certains cas des réactions voire des oppositions de la part des élus et de la population.

« Que l’on puisse aujourd’hui faire rire les spectateurs, voire susciter une sorte d’adhésion sectaire avec force réseaux sociaux où, dans l’anonymat des pseudonymes, s’échangent des propos monstrueux tandis que l’on défie la loi et la simple dignité humaine en pratiquant un geste obscène auquel on a donné une signification antisémite que l’on est allée jusqu’à exprimer face à l’école toulousaine …

« Pour la seconde fois, le Conseil Constitutionnel rejette la légitimité d’une solution politique concernant l’arrêté Miot et cette décision qui accable les Corses, ne saurait demeurer sans solution alternative.