A dritta, A Manca

Qui reprendra le siège vacant de Nicolas Alfonsi (RDSE) au Palais du Luxembourg? Après la victoire de l’UMP aux municipales d’Ajaccio, le président du conseil général de Corse-du-Sud Jean-Jacques Panunzi fait figure de favori. Mais il pourrait trouver l’écologiste Julia Sanguinetti sur sa route.

(Maria Lanfranchi – Alta frequenza) – Les mouvements politiques dits traditionnels étaient pour bon nombre d’entre eux invités à la tribune, pour débattre de l’avenir de la Corse et notamment des grandes reformes à venir.

« Je vais demander au conseil municipal qui se réunira prochainement de voter la rupture de contrat avec la société Q park, au sujet du parking Campinchi à Ajaccio ».

Laurent Marcangeli a reçu une curieuse réponse de l’État sur l’intérêt patrimonial des quais. Le maire souhaite réunir le conseil municipal pour proposer la rupture de contrat avec l’opérateur. À quel prix ?

Mardi 5 août, les socio-professionnels ont été reçus par le président de l’exécutif de la Collectivité Territoriale de Corse, Paul Giacobbi. Une mise au point sur les mesures accordées par l’Etat après la grève de la SNCM.

(Alex Bertocchini – Alta Frequenza) – Poursuite des entretiens que nous avons réalisés aux Ghjurnate di Corti avec les différents courants politiques qui avaient répondu à l’invitation de Corsica Libera. 

Au nom du groupe CGT au Conseil économique, social et culturel de la Corse, Jean-Claude Graziani est intervenu, lors de la séance du CESC du 30 juillet, sur le thème de la réforme territoriale. Il a notamment indiqué :

(Alex Bertocchini – Alta Frequenza) – Certes la droite disons non républicaine, la gauche, à qui l’on peut attribuer le même qualificatif, et une partie seulement du mouvement nationaliste n’ont pas conclut hier un accord de partenariat formalisé.

Le président de l’Adec Jean Zuccarelli revient sur le conflit de la SNCM et ses conséquences pour l’économie corse. Il a été chargé de superviser le pilotage et la rédaction du livre blanc sur les répercussions de la grève

L’opposition pilonne la municipalité après l’inscription de 727 055 euros de dépenses supplémentaires de personnel au budget modificatif de la ville de Bastia. Pour Jean Zuccarelli, ces frais font peser un risque sur l’investissement. Mais la mairie conteste.