PCF

(archive) Le 23 août 1975 : La Fédération de la Corse du Parti communiste français fait une déclaration qui sera tirée à plusieurs milliers d’exemplaires et distribuée. Elle était intitulée : Vive la France… (source)

Voilà maintenant plus de dix jours que les marins, les sédentaires et les officiers de la SNCM sont en grève après un préavis d’un mois durant lequel le gouvernement est resté silencieux alors qu’il s’agissait du non-respect de sa propre parole et des engagements pris au mois de janvier au sortir d’une première grève de 8 jours.

Depuis la série de défaites de la gauche insulaire aux élections municipales, le Parti Communiste Français en Corse ne possède plus aucun élu dans une grande ville de l’île.

(Michaël Andreani – Alta Frequenza) – Municipales à Ajaccio : les dix candidats communistes et Front de Gauche de la liste d’union du maire sortant Simon Renucci ont été présentés ce dimanche à l’occasion d’une conférence de presse.

(Maria Lanfranchi – Alta Frequenza) – En réponse aux propos de François Tatti à propos du scrutin municipal à Bastia, les fédérations de Haute-Corse du PRG, du PC et le PS Bastia-nord, estiment que « Bastia mérite mieux qu’un coup de poker », et que la position de François Tatti montre « que sa démarche peut conduire la Gauche et Bastia à l’échec ».

L’annonce n’a pas encore été officialisée, mais les choses se précisent du côté de l’opposition bonifacienne. Philippe Barolo, secrétaire de section du PS bonifacien et secrétaire fédéral, devrait monter sa liste, comme semble l’indiquer le communiqué qui suit, en réaction à l’interview de Nicole Ferracci, secrétaire de la section bonifacienne parut dans nos colonnes le 24 janvier.

A Bastia, ce 25 janvier, Jean Zuccarelli, investi par le Parti Radical de Gauche et soutenu par le Parti Communiste, a détaillé son projet devant un public acquis. La liste de rassemblement de la gauche et des démocrates de progrès (PRG-PCF), conduite par Jean Zuccarelli, fils du maire sortant, promet de grands travaux pour la cité.

Jean-Charles Orsucci, vice-président de l’Assemblée territoriale, vient de faire une proposition “choc”pour les prochaines échéances électorales: l’union des forces de gauche et des nationalistes dans les grandes villes de Corse.

Les langues et cultures de France sont une composante de notre patrimoine national. Le reconnaître officiellement est un impératif démocratique. Il découle de notre attachement aux droits humains.

La récente proposition du maire de Bonifacio d’unir forces de gauche et nationalistes dans les grandes villes de Corse n’est pas au goût des communistes bastiais. Pour eux, Jean-Charles Orsucci qui soutient le ticket Tatti- De Gentili, est « un vrai faux ami de la gauche bastiaise« .