A MANCA!

(FR3CORSE) Journée importante ce dimanche 23 novembre à Bastia pour François Tatti qui lance officiellement son nouveau parti politique, le Mouvement Corse démocrate. Le président du MCD était l’invité de France 3 Corse ViaStella samedi soir. 

(Corse Matin) On savait que cette campagne serait très différente de celle du mois de mars. On se rend compte maintenant que Simon Renucci, en position de challenger, est bien plus combatif. Il ne s’agit plus seulement de défendre un bilan. Mais bien d’attaquer, sans concession, les quelque sept mois de gestion de l’adversaire. Et le spécialiste de l’anatomie s’y …

(Alta-Frequenza) (Alex Bertocchini – Alta Frequenza) – Un groupe autonome et solidaire ! C’est la réaffirmation faite ce matin (jeudi) à très haute et intelligible voix par le groupe Communistes et Citoyens du Front de Gauche de l’Assemblée de Corse.

Nous souhaitons traiter trois sujets à l’occasion de cette conférence de presse. La SNCM, le vote du PADDUC, la demande de création d’une collectivité unique.

Éducation et réforme des rythmes scolaires : la municipalité démissionnaire au rang des récalés. Pendant la campagne électorale, dans la rue et à l’occasion de ses meetings Laurent Marcangeli promettait :

Dans un article de son édition du 19 novembre dernier, le quotidien régional Corse-Matin s’est fait l’écho du lancement prochain du nouveau mouvement politique de François TATTI.

(CorseMatin) Dans un communiqué, la CGT de Haute-Corse s’alarme des propositions du Conseil Exécutif de l’Assemblée de Corse de vouloir bientôt augmenter les taxes sur l’essence à travers un « pack fiscal »

(CorseMatin) PRG légal, PRG réel, PS sud et Nord, CSD, PCF et Front de gauche, MCD et ECO, pas moins de neuf chapelles s’érigent aujourd’hui au sein de la gauche insulaire. La bataille est rude pour les territoriales

(Julien Pernici – Alta Frequenza) – Impliquer directement les habitants dans les enjeux politiques de leur ville, tel va être l’objectif de la charte de démocratie participative adoptée il y a quelques jours en conseil municipal à Bastia, hors une abstention d’attente de l’opposition.

Avant même son premier mandat de maire en 2001, Simon Renucci s’était engagé pour la construction d’un hôpital neuf pour remplacer la Miséricorde, qui n’est plus adapté depuis bien longtemps.