A MANCA!

La conseillère exécutive lance la phase II du Padduc qui sera soumise au vote de l’assemblée de Corse en octobre. L’enjeu de cette nouvelle concertation : décliner les orientations à travers le projet.

« Je condamne évidemment les deux attentats qui ont frappé la Corse dans la nuit de mercredi à jeudi. Il s’agit une nouvelle fois d’actes odieux qui nient le droit à la tranquillité publique, bafouent la démocratie et portent gravement atteinte à l’image et au développement économique de notre île.

La Corse perd de l’argent avec son train. Et la CGT a fait grève contre un statut accepté et revendiqué par le syndicat majoritaire STC.

Le président du Conseil Exécutif de l’assemblée de Corse réagit à la décision du Président de la République de ne pas ratifier la Charte des Langues régionales et minoritaires; La France ne ratifiera pas la Charte des Langues Régionales et minoritaires.

(Michaël Andreani – Alta Frequenza) – La Corse pourra-t-elle bénéficier d’une réforme constitutionnelle et institutionnelle dans les tous prochains mois ? La question, des plus prégnantes, prend de plus en plus de poids au fur et à mesure que cette éventualité semble s’éloigner à Paris.

Cuntrastus’est mis au vert ce dimanche. C’est Julia Sanguinetti, désormais à la tête du parti écologique insulaire qui, hier, était l’invitée du magazine politique présenté par Jean-Vitus Albertini (France 3 Corse Via Stella), Roger Antech (Corse-Matin) et Alexandre Sanguinetti (RCFM).

Corsica – Êtes-vous favorable, ou pas, au projet de loi sur le non cumul des mandats (essentiellement l’impossibilité d’être maire et parlementaire) ?

Mes chers collègues, avant d’ouvrir cette séance publique, permettez-moi dans un propos introductif : 

(Maria Lanfranchi – Alta Frequenza) – Nouvelle session pour l’Assemblée de Corse. Avant l’examen de différents rapports, ayant trait notamment à la desserte aérienne de Paris, à la cinémathèque de Corse ou à une nouvelle phase du PEI, conseillers exécutifs et territoriaux, se sont retrouvés hier matin (jeudi) pour les traditionnelles questions orales.

Michel Stefani a posé une question se référant au chômage et à la précarité qui règne sur l’ile. Au-delà des suppressions de poste dans la fonction publique et d’un nombre de demandeurs d’emplois en hausse, l’élu du front de gauche a surtout voulu alerter l’exécutif sur la cherté de la vie, qui ajoute encore à la difficulté.