Panunzi Jean Jacques

(Alex Bertocchini – Alta Frequenza) – Pas content Jean-Jacques Panunzi après la diffusion du rapport de la Chambre Régionale des Comptes relatif au fonctionnement et à la gestion du Conseil Général de Corse-du-Sud.

Il a fallu attendre vingt ans pour que le barrage du Rizzanese soit inauguré… Jean-Jacques Panunzi, président du conseil général de Corse-du-Sud mais aussi élu de l’Alta Rocca, dénonce une réalité : l’avalanche de textes normatifs paralyse les collectivités dans leurs projets, avec comme conséquence des surcoûts pénalisants pour les finances publiques et les entreprises

(Maria Lanfranchi – Alta Frequenza) – Début ce matin (jeudi),  du débat tant attendu sur la co-officialité de la langue Corse. Après une présentation du rapport du conseil exécutif par Pierre Ghionga différentes contributions ont été livrées par les élus de l’Assemblée de Corse.

Il était fermement opposé au projet du Gouvernement. Maintenant que le scrutin binomal est devenu réalité, Jean-Jacques Panunzi, le président du conseil général de la Corse-du-Sud, fait, une fois encore, entendre sa voix.

(Alex Bertocchini – Alta Frequenza) – Un mode de scrutin bi-nominal voté contre les territoires ruraux! L’intitulé du communiqué de Jean-Jacques Panunzi est assez explicite sur l’état d’esprit qui anime le président du conseil général de Corse-du-Sud.

« Notre dynamique président semble aimer le Sénat. N’y voyons là aucun intérêt personnel, seulement un attachement à une institution qui garantirait selon lui, la représentativité des « territoires ruraux » abandonnés par tous, mais surtout désertifiés par 100 ans de mauvaise gouvernance de ses pairs !

ous le slogan « c’est aux réalisations que l’on reconnait l’acteur », le Conseil général de Corse-du-Sud lance une nouvelle campagne de communication pour valoriser ses actions en faveur de ses habitants et de ses territoires.

Séquence importante avec le vote de la loi modifiant les règles d’élection des conseillers généraux et les débats à la CTC. Jean-Jacques Panunzi, le président du CG2A défend le champ d’action de l’institution

Il est davantage qu’un administrateur : à la tête du Conseil général de Corse-du-Sud, il s’affirme incontestablement comme l’un des hommes forts de l’UMP. Au point qu’on lui prête de légitimes ambitions politiques.

(Michaël Andreani – Alta Frequenza) – La Corse pourra-t-elle bénéficier d’une réforme constitutionnelle et institutionnelle dans les tous prochains mois ? La question, des plus prégnantes, prend de plus en plus de poids au fur et à mesure que cette éventualité semble s’éloigner à Paris.