A DRITTA

C’est bien connu, l’appétit vient en mangeant ! Passer de l’état d’employé communal di Surbuddà à celui de président de conseil général révèle à tout le moins, sinon beaucoup de savoir, du moins un incontestable savoir-faire dans un pays où la pulitichedda est un véritable sport national…

La place devant la Poste Saint-Gabriel portera sous peu le nom de l’ancien édile disparu en 2005. Un juste hommage salué par tous pour celui qui fut également député et président du conseil général.

Vous ne leur ferez pas dire que l’opposition municipale est désunie. Certes, ils ne sont que trois sur sept à proposer, lors d’une conférence de presse, « une approche différente » des projets retenus par l’exécutif communal. Il s’agit selon eux avant tout de « disponibilité, d’engagement personnel et d’investissement ».

Finit le temps des « antifada » lancées par les militants de la Cuncolta Naziunalista, finit le temps où le FN et Cie représentaient l’ennemi viscérale de la LLN. Les temps changent et dans tous les domaines. Le FN s’exprime et peut déverser ses idées coloniales sans que cela n’émeuve plus grand monde.

(Michaël Andreani – Alta Frequenza) – Le Centre du Sport et de la Jeunesse de Corse et le Conseil Général de la Corse-du-Sud, ont signé en début de semaine une convention pour la mise en place officielle du Dispositif d’Insertion pour un Nouvel Avenir.

Camille de Rocca-Serra explique à Corse-Matin les raisons pour lesquelles il n’adhère pas à la réforme cantonale actuellement examinée à l’Assemblée nationale.

Dimanche soir à Cuntrastu sur France 3 Corse, le maire de Calvi et ancien président du conseil exécutif a indiqué que Rassembler pour la Corse à la CTC devrait connaître des évolutions.

(Alex Bertocchini – Alta Frequenza) – Réforme administrative, en plus explicite la refonte des cantons! Laurent Marcangeli, le député de Corse-du-Sud  a fait une intervention très remarquée mercrtedi à l’Assemblée Nationale.

Au pouvoir depuis 9 mois, la majorité du président Hollande est dans une situation difficile. Cette état de fait résulte en grande partie des mauvais choix économiques effectué dans un contexte tendu.

Toujours terrible l’exercice du plateau télé lorsque l’on n’est pas derrière son écran, mais que l’on endosse le rôle du principal intéressé. C’est-à-dire celui que l’on interviewe.